
Destinataire : | |
Entrez votre email : | |
Objet : | |
Entrez votre message : | |

Nous vous proposons ici plusieurs solutions si vous rencontrez des difficultés pour lire nos vidéos. Avant d'opter pour ces solutions de repli, merci de vérifier que vous avez un lecteur Flash ou de le télécharger ICI. Et d'utiliser un navigateur pour lequel notre site est optimisé, à savoir FIREFOX ou SAFARI.
LA PREMIÈRE SOLUTION est de télécharger la vidéo et de la lire directement sur votre ordinateur. Il vous faudra pour cela avoir un lecteur FLV dans vos applications. Nous vous en proposons un, pour mac, téléchargeable ICI
LA SECONDE SOLUTION est de lire ces vidéos dans une qualité inférieure et dans un plus petit format sur notre page YouTube : www.youtube.com/ecrireunmouvement
Vous pouvez nous contacter si vous souhaitez d'autres conseils ou constatez une anomalie. Merci.
Cette rubrique regroupe les archives des créations actuellement retirées de notre répertoire. Certaines peuvent être reprises sur commande, notamment les petites formes. En naviguant dans le menu du haut, vous trouverez dans la rubrique "En ce moment" toutes nos pièces actuellement disponibles à la diffusion.





EN QUELQUES MOTS :
L’homme assis dans le couloir, publié en 1980, marque un tournant dans l’écriture de Marguerite Duras. La langue plus abrupte que brève, ouvre un espace poétique de rythmes et de sonorités. Au fil de ses livres, cette dimension poétique prendra le dessus sur le récit, tant et si bien que nous pourrions penser que l’histoire n’est plus qu’un prétexte permettant d’écrire. Écrire pas même un livre mais des mots. "Il n’y a d’écrit que l’écrit du poème. Les romans vrais sont des poèmes", disait-elle. Mon attachement profond à son oeuvre tient de cela, de sa dimension poétique, de cette voix si singulière qui surgit à l’instant même où on lit ses textes. De cette musique, pourrait-on dire. Il se pourrait que la danse soit la plus à même de révéler cette dimension, c’est-à-dire qu’elle ait la capacité de distordre le récit, de le neutraliser en quelques sortes. C’est en tout cas, l’expérience que nous vous proposons avec cette création qui chemine entre chorégraphier la danse et chorégraphier la langue. Au plateau, une femme assise sur une chaise. Rien d’autre, si ce n’est les mots sinuant son corps, la traversant pourrait-t-on dire. Aucune autre incarnation que celle de la danse.
PRESSE :
« Un homme, une femme. Un homme assis dans l’ombre d’un couloir, une femme allongée dans un jardin à quelques mètres de lui. On sait quelles niaiseries moralisatrices peut engendrer cette simplicité édénique. Marguerite Duras les esquive toutes à une altitude de sobriété et de rareté où l’oxygène manque pour en dire plus. (...) Pour dire cette simplicité fondamentale, Duras a renoncé aux coquetteries stylistiques qui firent précédemment sa renommée (...) L’écriture y gagne en intensité, tout entière dans ses répétitions, ses hésitations, ses troubles, ses silences, à la hauteur du sujet. L’occasion, encore une fois d’être saisi d’un doute d’ordre général . Et s’il est vrai qu’au cinéma, Marguerite Duras désire toujours tourner le désastre du film, alors il faut dire qu’en littérature elle ne cesse pas d’écrire le désastre du livre. » (Gérard Lefort / Libération / 22 mai 1980)
ACCÉDER À CETTRE PAGE DIRECTEMENT :
www.ecrireunmouvement.com/duraslhomme
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

PARTENAIRES :

La première de cette création fut présentée en octobre 2013 lors du festival Le Grain de la Voix à Pau.


Date & Horaire :
Le mardi 15 octobre 2013 / 21h
Lieu : Chez quelqu’un, 64000 Pau
Entrée libre
Réservations : 05 59 40 72 93
Réservations pros et invitations : 05 59 84 19 87
Organisé dans le cadre du festival Le Grain de la Voix 2013
Voir le communiqué de presse :
www.ecrireunmouvement.com/news20131012
Télécharger le communiqué de presse :
www.ecrireunmouvement.com/news20131012.pdf
En quelques mots :
L’homme assis dans le couloir, publié en 1980, marque un tournant dans l’écriture de Marguerite Duras. La langue plus abrupte que brève, ouvre un espace poétique de rythmes et de sonorités. Au fil de ses livres, cette dimension poétique prendra le dessus sur le récit, tant et si bien que nous pourrions penser que l’histoire n’est plus qu’un prétexte permettant d’écrire. Écrire pas même un livre mais des mots. "Il n’y a d’écrit que l’écrit du poème. Les romans vrais sont des poèmes", disait-elle. Mon attachement profond à son oeuvre tient de cela, de sa dimension poétique, de cette voix si singulière qui surgit à l’instant même où on lit ses textes. De cette musique, pourrait-on dire. Il se pourrait que la danse soit la plus à même de révéler cette dimension, c’est-à-dire qu’elle ait la capacité de distordre le récit, de le neutraliser en quelques sortes. C’est en tout cas, l’expérience que nous vous proposons avec cette création qui chemine entre chorégraphier la danse et chorégraphier la langue. Au plateau, une femme assise sur une chaise. Rien d’autre, si ce n’est les mots sinuant son corps, la traversant pourrait-t-on dire. Aucune autre incarnation que celle de la danse.
EN SA(VOIR) + :

• Le programme du Grain de la Voix 2013 : www.ecrireunmouvement.com/legraindelavoix2013
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Commander un DVD de l’une de nos créations




Date & Horaire :
Le lundi 14 octobre 2013 / 21h
Lieu : Chez quelqu’un, 64000 Pau
Entrée libre
Réservations : 05 59 40 72 93
Réservations pros et invitations : 05 59 84 19 87
Organisé dans le cadre du festival Le Grain de la Voix 2013
Voir le communiqué de presse :
www.ecrireunmouvement.com/news20131012
Télécharger le communiqué de presse :
www.ecrireunmouvement.com/news20131012.pdf
En quelques mots :
L’homme assis dans le couloir, publié en 1980, marque un tournant dans l’écriture de Marguerite Duras. La langue plus abrupte que brève, ouvre un espace poétique de rythmes et de sonorités. Au fil de ses livres, cette dimension poétique prendra le dessus sur le récit, tant et si bien que nous pourrions penser que l’histoire n’est plus qu’un prétexte permettant d’écrire. Écrire pas même un livre mais des mots. "Il n’y a d’écrit que l’écrit du poème. Les romans vrais sont des poèmes", disait-elle. Mon attachement profond à son oeuvre tient de cela, de sa dimension poétique, de cette voix si singulière qui surgit à l’instant même où on lit ses textes. De cette musique, pourrait-on dire. Il se pourrait que la danse soit la plus à même de révéler cette dimension, c’est-à-dire qu’elle ait la capacité de distordre le récit, de le neutraliser en quelques sortes. C’est en tout cas, l’expérience que nous vous proposons avec cette création qui chemine entre chorégraphier la danse et chorégraphier la langue. Au plateau, une femme assise sur une chaise. Rien d’autre, si ce n’est les mots sinuant son corps, la traversant pourrait-t-on dire. Aucune autre incarnation que celle de la danse.
EN SA(VOIR) + :

• Le programme du Grain de la Voix 2013 : www.ecrireunmouvement.com/legraindelavoix2013
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Commander un DVD de l’une de nos créations




Date & Horaire :
Le dimanche 13 octobre 2013 / 14h
Lieu : Chez quelqu’un, 64000 Pau
Entrée libre
Réservations : 05 59 40 72 93
Réservations pros et invitations : 05 59 84 19 87
Organisé dans le cadre du festival Le Grain de la Voix 2013
Voir le communiqué de presse :
www.ecrireunmouvement.com/news20131012
Télécharger le communiqué de presse :
www.ecrireunmouvement.com/news20131012.pdf
En quelques mots :
L’homme assis dans le couloir, publié en 1980, marque un tournant dans l’écriture de Marguerite Duras. La langue plus abrupte que brève, ouvre un espace poétique de rythmes et de sonorités. Au fil de ses livres, cette dimension poétique prendra le dessus sur le récit, tant et si bien que nous pourrions penser que l’histoire n’est plus qu’un prétexte permettant d’écrire. Écrire pas même un livre mais des mots. "Il n’y a d’écrit que l’écrit du poème. Les romans vrais sont des poèmes", disait-elle. Mon attachement profond à son oeuvre tient de cela, de sa dimension poétique, de cette voix si singulière qui surgit à l’instant même où on lit ses textes. De cette musique, pourrait-on dire. Il se pourrait que la danse soit la plus à même de révéler cette dimension, c’est-à-dire qu’elle ait la capacité de distordre le récit, de le neutraliser en quelques sortes. C’est en tout cas, l’expérience que nous vous proposons avec cette création qui chemine entre chorégraphier la danse et chorégraphier la langue. Au plateau, une femme assise sur une chaise. Rien d’autre, si ce n’est les mots sinuant son corps, la traversant pourrait-t-on dire. Aucune autre incarnation que celle de la danse.
EN SA(VOIR) + :

• Le programme du Grain de la Voix 2013 : www.ecrireunmouvement.com/legraindelavoix2013
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Commander un DVD de l’une de nos créations


EN QUELQUES MOTS :
L’homme assis dans le couloir, publié en 1980, marque un tournant dans l’écriture de Marguerite Duras. La langue plus abrupte que brève, ouvre un espace poétique de rythmes et de sonorités. Au fil de ses livres, cette dimension poétique prendra le dessus sur le récit, tant et si bien que nous pourrions penser que l’histoire n’est plus qu’un prétexte permettant d’écrire. Écrire pas même un livre mais des mots. "Il n’y a d’écrit que l’écrit du poème. Les romans vrais sont des poèmes", disait-elle. Mon attachement profond à son oeuvre tient de cela, de sa dimension poétique, de cette voix si singulière qui surgit à l’instant même où on lit ses textes. De cette musique, pourrait-on dire. Il se pourrait que la danse soit la plus à même de révéler cette dimension, c’est-à-dire qu’elle ait la capacité de distordre le récit, de le neutraliser en quelques sortes. C’est en tout cas, l’expérience que nous vous proposons avec cette création qui chemine entre chorégraphier la danse et chorégraphier la langue. Au plateau, une femme assise sur une chaise. Rien d’autre, si ce n’est les mots sinuant son corps, la traversant pourrait-t-on dire. Aucune autre incarnation que celle de la danse.
PRESSE :
« Un homme, une femme. Un homme assis dans l’ombre d’un couloir, une femme allongée dans un jardin à quelques mètres de lui. On sait quelles niaiseries moralisatrices peut engendrer cette simplicité édénique. Marguerite Duras les esquive toutes à une altitude de sobriété et de rareté où l’oxygène manque pour en dire plus. (...) Pour dire cette simplicité fondamentale, Duras a renoncé aux coquetteries stylistiques qui firent précédemment sa renommée (...) L’écriture y gagne en intensité, tout entière dans ses répétitions, ses hésitations, ses troubles, ses silences, à la hauteur du sujet. L’occasion, encore une fois d’être saisi d’un doute d’ordre général . Et s’il est vrai qu’au cinéma, Marguerite Duras désire toujours tourner le désastre du film, alors il faut dire qu’en littérature elle ne cesse pas d’écrire le désastre du livre. » (Gérard Lefort / Libération / 22 mai 1980)
ACCÉDER À CETTRE PAGE DIRECTEMENT :
www.ecrireunmouvement.com/duraslhomme





UPPERCUT est une combinaison de trois textes pour deux voix dont une au chant. Chacun des récits jaillit et s’entrechoque, propulsant les souvenirs en sensations, exposant des corps comme traversés par une mémoire rougie aux fers des tensions et conflits contemporains, certains armés, d’autres désarmés mais toujours désarmants.
EN (SA)VOIR + :
Quand on organise un festival : Le Printemps des poètes à Pau :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
Voir la rubrique sur les manifestations exceptionnelles :
www.ecrireunmouvement.com/evenements
Lien pour accéder directement à cette page :
www.ecrireunmouvement.com/uppercut
AU SUJET DES PETITES FORMES / CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES :
Les "Petites Formes" sont des pièces adaptables à tout type d’espace : appartements, cafés, librairies, bibliothèques, musées, universités, cinémas, plein air. Certaines d’entre elles peuvent aussi être présentées sur scène.
Les "Petites Formes" sont techniquement autonomes. En effet, ces projets sont dotés d’une scénographie modulable, comprenant la lumière, le son ainsi que les assises pour les spectateurs.
Les "Petites Formes" sont des mises en scène de textes contemporains combinant selon les propositions la danse, la vidéo et la musique live.
Les "Petites Formes" peuvent être chuchotées au casque ou déclamées (avec instruments acoustiques) ou encore sonorisées (type concerts de musique amplifiée).
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Une première version de ce travail fut présentée en 2008 avec : Comédien : Gilbert Traïna / / Danse : Léa Cornetti en alternance avec Julie Dardey / Espace sonore : Ryan Kernoa et la participation exceptionnelle lors de certaines représentations de Charley Rose au saxophone.
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact
PARTENAIRES :

Pièce créée lors du Festival du Printemps des poètes en Mars 2008 à la Librairie Tonnet (Pau).


Dans le cadre du festival "La Grain de la voix"
Date & Horaire :
Le samedi 26 mai 2012 / 14h
Lieu : Chez Pauline Chasseriaud
Adresse : avenue du 18ème Régiment d’Infanterie, 64000 Pau
Tarif : gratuit
Réservations : 05 59 84 19 87
Le festival sur le site de la Centrifugeuse : www.la-centrifugeuse.com
Le festival sur le Facebook de la Centrifugeuse : www.facebook.com/events
Voir le communiqué de presse :
Télécharger le communiqué de presse :
En quelques mots :
UPPERCUT est une combinaison de trois textes pour deux voix dont une au chant. Chacun des récits jaillit et s’entrechoque, propulsant les souvenirs en sensations, exposant des corps comme traversés par une mémoire rougie aux fers des tensions et conflits contemporains, certains armés, d’autres désarmés mais toujours désarmants.
EN SA(VOIR) + :

• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Commander un DVD de l’une de nos créations




Dans le cadre du festival "La Grain de la voix"
Date & Horaire :
Le mardi 22 mai 2012 / 21h
Lieu : Chez Nicole Labarta
Adresse : avenue de Barèges, 64000 Pau
Tarif : gratuit
Réservations : 05 59 84 19 87
Le festival sur le site de la Centrifugeuse : www.la-centrifugeuse.com
Le festival sur le Facebook de la Centrifugeuse : www.facebook.com/events
Voir le communiqué de presse :
Télécharger le communiqué de presse :
En quelques mots :
UPPERCUT est une combinaison de trois textes pour deux voix dont une au chant. Chacun des récits jaillit et s’entrechoque, propulsant les souvenirs en sensations, exposant des corps comme traversés par une mémoire rougie aux fers des tensions et conflits contemporains, certains armés, d’autres désarmés mais toujours désarmants.
EN SA(VOIR) + :

• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Commander un DVD de l’une de nos créations




Dans le cadre du festival "La Grain de la voix"
Date & Horaire :
Le samedi 19 mai 2012 / 14h
Lieu : Chez Valérie Malot
Adresse : Place Gramont, 64000 Pau
Tarif : gratuit
Réservations : 05 59 84 19 87
Le festival sur le site de la Centrifugeuse : www.la-centrifugeuse.com
Le festival sur le Facebook de la Centrifugeuse : www.facebook.com/events
Voir le communiqué de presse :
Télécharger le communiqué de presse :
En quelques mots :
UPPERCUT est une combinaison de trois textes pour deux voix dont une au chant. Chacun des récits jaillit et s’entrechoque, propulsant les souvenirs en sensations, exposant des corps comme traversés par une mémoire rougie aux fers des tensions et conflits contemporains, certains armés, d’autres désarmés mais toujours désarmants.
EN SA(VOIR) + :

• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Commander un DVD de l’une de nos créations





En seconde partie :
Christine Sehnaoui (Saxophone), Frédéric Jouanlong (Voix), Stéphane Garin (Percussions) et Nicolas Lafourest (Guitare)
Lieu : Chez Jean-Christophe Tixier / Pau (64000)
Contact & Résa : La Centrifugeuse au 05 59 40 72 93
Date et horaires : Vendredi 13 mars 2009 à 20h30
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
En quelques mots :
UPPERCUT est une combinaison de trois textes pour deux voix dont une au chant. Chacun des récits jaillit et s’entrechoque, propulsant les souvenirs en sensations, exposant des corps comme traversés par une mémoire rougie aux fers des tensions et conflits contemporains, certains armés, d’autres désarmés mais toujours désarmants.
EN SA(VOIR) + :

• Détail de l’édition 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
• Dossier de Presse 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009.pdf
• Détail de l’édition 2008 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
• Présentations des oeuvres : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Printemps des poètes (National) : www.printempsdespoetes.com
• Sur le printemps des poètes à Pau : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
QUELQUES TRACES DU FESTIVAL 2008 :




Lieu : Maison de l’Étudiant / Domaine Universitaire / 64000 PAU
Contact & Résa : 05.59.40.72.93 / Email
Résa pro et invitation : Catherine Luro : 05.40.07.02.77 / Email
Comment venir : Voir le plan d’accès : www.ecrireunmouvement.com/plan-mde
Date & Horaire : Mercredi 15 Octobre 2008 / 19h & 20h
Entrée : Gratuite
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20081014
Télécharger le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20081014.pdf
En quelques mots :
UPPERCUT est une combinaison de trois textes pour deux voix dont une au chant. Chacun des récits jaillit et s’entrechoque, propulsant les souvenirs en sensations, exposant des corps comme traversés par une mémoire rougie aux fers des tensions et conflits contemporains, certains armés, d’autres désarmés mais toujours désarmants. (Lire la suite... Présentation détaillée, vidéo, photos, etc... : www.ecrireunmouvement.com/uppercut)
Pièce créée lors du Festival du Printemps des poètes en Mars 2008 à la Librairie Tonnet (Pau) / Production : Enfin le Jour - Écrire un Mouvement / Co-Production : La Centrifugeuse (Service Culturel de l’Université de Pau) / Partenaires : Ville de Pau / Conseil Général 64 / Région Aquitaine / DRAC Aquitaine / Soutiens : Cumamovi (Pau) / Scène de musique actuelle AMPLI (Pau).
EN SA(VOIR) + :

• Voir toutes les petites formes disponibles : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Quand on organise un festival : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Toutes les photos des Petites Formes : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes-photos
• Toutes les vidéos des Petites Formes : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes-videos
• La Centrifugeuse : http://mde-culture.univ-pau.fr
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Télécharger notre dossier de saison : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf




ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
UPPERCUT est une combinaison de trois textes pour deux voix dont une au chant. Chacun des récits jaillit et s’entrechoque, propulsant les souvenirs en sensations, exposant des corps comme traversés par une mémoire rougie aux fers des tensions et conflits contemporains, certains armés, d’autres désarmés mais toujours désarmants.
EN (SA)VOIR + :
Quand on organise un festival : Le Printemps des poètes à Pau :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
Voir la rubrique sur les manifestations exceptionnelles :
www.ecrireunmouvement.com/evenements
Lien pour accéder directement à cette page :
www.ecrireunmouvement.com/uppercut
AU SUJET DES PETITES FORMES / CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES :
Les "Petites Formes" sont des pièces adaptables à tout type d’espace : appartements, cafés, librairies, bibliothèques, musées, universités, cinémas, plein air. Certaines d’entre elles peuvent aussi être présentées sur scène.
Les "Petites Formes" sont techniquement autonomes. En effet, ces projets sont dotés d’une scénographie modulable, comprenant la lumière, le son ainsi que les assises pour les spectateurs.
Les "Petites Formes" sont des mises en scène de textes contemporains combinant selon les propositions la danse, la vidéo et la musique live.
Les "Petites Formes" peuvent être chuchotées au casque ou déclamées (avec instruments acoustiques) ou encore sonorisées (type concerts de musique amplifiée).
Conception et Mise en lecture : Thierry Escarmant / Comédien : Gilbert Traïna / Chanteur et vocaliste : Frédéric Jouanlong / Espace sonore : Stephan Krieger (AmanitaRecords).
Une première version de ce travail fut présentée en 2008 avec : Comédien : Gilbert Traïna / / Danse : Léa Cornetti en alternance avec Julie Dardey / Espace sonore : Ryan Kernoa et la participation exceptionnelle lors de certaines représentations de Charley Rose au saxophone.
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact


Ce projet de création envisagé en 2009 fut abandonnée à quelques jours de sa création pour des raisons de santé de la soliste l’interprétant.

"Vous ne trouvez pas qu’on a l’air triste ?" est la première question que nous pose cette femme dont on ne sait rien si ce n’est qu’elle garde toujours avec elle son grand parapluie et qu’elle est passionnée par les papillons. Cette pièce en cinq tableaux, nous laisse découvrir cinq instantanés de sa vie, comme des photos polaroids animées où les souvenirs et les espoirs s’entremêlent dans une combinaison de vidéo-projections, de textes et de danses. Issue de la collaboration avec l’Agora (Structure de diffusion spécialisée jeunes publics), cette pièce est conçue pour les plus jeunes (dès 6 ans) mais s’adresse à tous.

• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Télécharger le dossier de cette pièce : En cours de réalisation.
• Télécharger les bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/2013
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires

• Durée : Environ 45 minutes.
• Fiche adaptable sur étude.
• Ouverture minimale : 8m + 2 coulisses à l’italienne d’1m.
• Profondeur minimale : 8m.
• Fond de scène, pendrionnage, tapis de danse noirs.
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

PARTENAIRES :


LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
Ce projet de création envisagé en 2009 fut abandonnée à quelques jours de sa création pour des raisons de santé de la soliste l’interprétant.

"Vous ne trouvez pas qu’on a l’air triste ?" est la première question que nous pose cette femme dont on ne sait rien si ce n’est qu’elle garde toujours avec elle son grand parapluie et qu’elle est passionnée par les papillons. Cette pièce en cinq tableaux, nous laisse découvrir cinq instantanés de sa vie, comme des photos polaroids animées où les souvenirs et les espoirs s’entremêlent dans une combinaison de vidéo-projections, de textes et de danses. Issue de la collaboration avec l’Agora (Structure de diffusion spécialisée jeunes publics), cette pièce est conçue pour les plus jeunes (dès 6 ans) mais s’adresse à tous.

• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Télécharger le dossier de cette pièce : En cours de réalisation.
• Télécharger les bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/2013
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires

• Durée : Environ 45 minutes.
• Fiche adaptable sur étude.
• Ouverture minimale : 8m + 2 coulisses à l’italienne d’1m.
• Profondeur minimale : 8m.
• Fond de scène, pendrionnage, tapis de danse noirs.






Extrait du texte : (les « / » représentent un passage à la ligne) « La lumière bout sous mes paupières // D’un rossignol abîmé dans la cendre, de ses noires entrailles musicales, surgit une tempête. Les pleurs descendent dans les anciennes cavités jaunes, je discerne des fouets vivants / et le regard immobile des bêtes, leur aiguille froide dans mon coeur. / Tout est présage. La lumière est la moelle de l’ombre : des insectes vont mourir sur les bougies de l’aube. Ainsi : brûlent en moi les signifiés. (...) »
Antonio Gamoneda est une figure emblématique de la littérature européenne. D’une densité et d’une force exceptionnelle, son oeuvre s’est imposée malgré sa reconnaissance tardive comme l’une des plus importante de la poésie espagnole d’aujourd’hui.
L’ouvrage d’Antonio Gamoneda, paru aux éditions Fata Morgana, s’intitule "De l’impossibilité", dans une traduction d’Amélia Gamoneda et illustré par Jean-Louis Fauthoux. Une nouvelle édition augmentée est parue chez Arfuyen sous le titre "Clarté sans repos" dans une traduction de Jacques Ancet.
Les "Petites Formes" sont des pièces adaptables à tout type d’espace : appartements, cafés, librairies, bibliothèques, musées, universités, cinémas, plein air. Certaines d’entre elles peuvent aussi être présentées sur scène. Les "Petites Formes" sont techniquement autonomes. En effet, ces projets sont dotés d’une scénographie modulable, comprenant la lumière, le son ainsi que les assises pour les spectateurs (Attention, les espaces de plus de 100m2 nécessitent un équipement supplémentaire). Les "Petites Formes" sont des mises en scène de textes contemporains combinant selon les propositions la danse, la vidéo et la musique live. Les "Petites Formes" peuvent être chuchotées au casque ou déclamées (avec instruments acoustiques) ou encore sonorisées (type concerts de musique amplifiée).
LIENS UTILES :
Dossier de présentation : www.ecrireunmouvement.com/gamoneda.pdf
Quand on organise un festival : www.ecrireunmouvement.com/festival
Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/gamoneda
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Et la participation exceptionnelle lors de la première version de cette création de Rasim Biyikli au piano et de Gilbert Traïna au texte.
PARTENAIRES :

Une première version de "De l’impossibilité" fût présentée en mai 2008 à l’issue d’un workshop avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts et de la Communication de Pau au Théâtre de la Centrifugeuse ; et une adaptation fût réalisée dans le cadre exceptionnel des Grottes préhistoriques d’Isturitz en Mai 2009.


Contact & Résa : 05 59 57 41 55
Pros et invitations : 05 59 84 19 87
Date & Horaire : Vendredi 12 mars 2010 à 21h00
Lieu : Faculté de Bayonne, Amphi 400
Adresse : Campus de la Nive / 8 allée des Platanes / 64100 Bayonne
Billetterie : Librairie Elkar
Entrée : 10€ TP / 5€ TR
Voir le communiqué de presse :
www.ecrireunmouvement.com/news20100312
Télécharger le communiqué :
www.ecrireunmouvement.com/news20100312.pdf
En quelques mots :
Antonio Gamoneda est une figure emblématique de la littérature européenne. D’une densité et d’une force exceptionnelle, son oeuvre s’est imposée malgré sa reconnaissance tardive comme l’une des plus importante de la poésie espagnole d’aujourd’hui.
"Je ne peux rien. Dire. Du tout. Je ne peux rien dire du tout de cette écriture-là. Parce qu’elle suspend ma pensée. Parce qu’elle déracine ma rationalité comme on arracherait une mauvaise dent. J’y entends la pulsation douloureuse du temps. J’y perçois les bouleversements les plus intimes, presque organiques, de l’être. Cette écriture semble comme tatouée lentement au fil de nos vies et sur nos propres peaux. On ne lit ni n’écoute la langue d’Antonio Gamoneda, on s’y expose. On l’éprouve par lèchements jusqu’à perdre connaissance, parce qu’il y a, tout à coup, non plus face à soi mais en soi, les fulgurances et les vulnérabilités du sens..."
Thierry Escarmant
ÉQUIPE ARTISTIQUE : Mise en scène et Chorégraphie : Thierry Escarmant / Texte : Fanny Avram, Léone Cats et Charley Rose / Danse : Léone Cats / Composition & Interprétation musicales : Ryan Kernoa (Guitare), Frédéric Jouanlong (Voix), Charley Rose (Saxophone) / Habillage & Sonorisation : Gilles Lahonda / Scénographie et Lumières : Thierry Escarmant.
EN SA(VOIR) + :

• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Photographie : Matthieu Tomassin



Programmé par Le Grand T, le Centre Culturel Franco Espagnol et la Maison de la Poésie de Nantes
Contact & Résa : 02 51 88 25 25
Pros et invitations : 05 59 84 19 87
Date & Horaire : Lundi 8 février 2010 à 20h00
Lieu : La chapelle du Grand T
Adresse : 84, Rue du Général Buat / Nantes (44)
Le site du Grand T : www.legrandt.fr
Communiqué : Dans la lettre du Grand T
Voir le communiqué de presse :
www.ecrireunmouvement.com/news20100208
Télécharger le communiqué :
www.ecrireunmouvement.com/news20100208.pdf
En quelques mots :
Antonio Gamoneda est une figure emblématique de la littérature européenne. D’une densité et d’une force exceptionnelle, son oeuvre s’est imposée malgré sa reconnaissance tardive comme l’une des plus importante de la poésie espagnole d’aujourd’hui.
"Je ne peux rien. Dire. Du tout. Je ne peux rien dire du tout de cette écriture-là. Parce qu’elle suspend ma pensée. Parce qu’elle déracine ma rationalité comme on arracherait une mauvaise dent. J’y entends la pulsation douloureuse du temps. J’y perçois les bouleversements les plus intimes, presque organiques, de l’être. Cette écriture semble comme tatouée lentement au fil de nos vies et sur nos propres peaux. On ne lit ni n’écoute la langue d’Antonio Gamoneda, on s’y expose. On l’éprouve par lèchements jusqu’à perdre connaissance, parce qu’il y a, tout à coup, non plus face à soi mais en soi, les fulgurances et les vulnérabilités du sens..." Thierry Escarmant
ÉQUIPE ARTISTIQUE : Mise en scène et Chorégraphie : Thierry Escarmant / Texte : Fanny Avram, Léone Cats et Charley Rose / Danse : Léone Cats / Composition & Interprétation musicales : Ryan Kernoa (Guitare), Frédéric Jouanlong (Voix), Charley Rose (Saxophone) / Habillage & Sonorisation : Gilles Lahonda / Scénographie et Lumières : Thierry Escarmant.
EN SA(VOIR) + :

• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Commander un DVD de l’une de nos créations



Contact & Résa : 0034 943 481 919
Pros et invitations : 05 59 84 19 87
Date & Horaire : Jeudi 17 décembre à 19h30
Lieu : Centre Culturel Ernest Lluch / San Sébastien (Espagne)
Adresse : Paseo de Anoeta, 7 / San Sébastien (Espagne)
Programmé par : Erakusleihoa
Voir le communiqué de presse :
www.ecrireunmouvement.com/news20091217
Télécharger le communiqué de presse :
www.ecrireunmouvement.com/news20091217.pdf
En quelques mots :
Antonio Gamoneda est une figure emblématique de la littérature européenne. D’une densité et d’une force exceptionnelle, son oeuvre s’est imposée malgré sa reconnaissance tardive comme l’une des plus importante de la poésie espagnole d’aujourd’hui.
Je ne peux rien. Dire. Du tout. Je ne peux rien dire du tout de cette écriture-là. Parce qu’elle suspend ma pensée. Parce qu’elle déracine ma rationalité comme on arracherait une mauvaise dent. J’y entends la pulsation douloureuse du temps. J’y perçois les bouleversements les plus intimes, presque organiques, de l’être. Cette écriture semble comme tatouée lentement au fil de nos vies et sur nos propres peaux. On ne lit ni n’écoute la langue d’Antonio Gamoneda, on s’y expose. On l’éprouve par lèchements jusqu’à perdre connaissance, parce qu’il y a, tout à coup, non plus face à soi mais en soi, les fulgurances et les vulnérabilités du sens...
Avec Gilbert Traïna (Texte français), Léone Cats (Texte espagnol et danse), Ryan Kernoa (Guitare et composition), Frédéric Jouanlong (Chant et Vocalise), Gilles Lahonda (Sonorisation).
EN SA(VOIR) + :

• Présentations des petites formes : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Commander un DVD de l’une de nos créations



Contact & Résa : 05 59 93 50 70
Pros et invitations : 05 59 84 19 87
Date & Horaire : Samedi 30 mai à 18h30
Voir le communiqué de presse :
www.ecrireunmouvement.com/news20090530
Télécharger le communiqué de presse :
www.ecrireunmouvement.com/news20090530.pdf
En quelques mots :
Une adaptation exceptionnelle de cette création pour une représentation unique dans les grottes préhistoriques d’Isturitz.
Je ne peux rien. Dire. Du tout. Je ne peux rien dire du tout de cette écriture-là. Parce qu’elle suspend ma pensée. Parce qu’elle déracine ma rationalité comme on arracherait une mauvaise dent. J’y entends la pulsation douloureuse du temps. J’y perçois les bouleversements les plus intimes, presque organiques, de l’être. Cette écriture semble comme tatouée lentement au fil de nos vies et sur nos propres peaux. On ne lit ni n’écoute la langue d’Antonio Gamoneda, on s’y expose. On l’éprouve par lèchements jusqu’à perdre connaissance, parce qu’il y a, tout à coup, non plus face à soi mais en soi, les fulgurances et les vulnérabilités du sens...
Avec Gilbert Traïna (Texte français), Léone Cats (Texte espagnol et danse), Ryan Kernoa (Guitare et composition), Frédéric Jouanlong (Chant et Vocalise), Gilles Lahonda (Sonorisation).
EN SA(VOIR) + :
• Présentations des petites formes : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Commander un DVD de l’une de nos créations




Date & Horaire :
Jeudi 23 Octobre 2008 / 21h
Entrée :
Gratuite
Contact & Résa : 05 59 40 72 93
Lieu : Maison de l’Étudiant / Domaine Universitaire / 64000 PAU
Comment venir : Voir le plan d’accès
Lu alternativement en Français et en Espagnol.
Extrait (les « / » représentent un passage à la ligne) : « La lumière bout sous mes paupières // D’un rossignol abîmé dans la cendre, de ses noires entrailles musicales, surgit une tempête. Les pleurs descendent dans les anciennes cavités jaunes, je discerne des fouets vivants / et le regard immobile des bêtes, leur aiguille froide dans mon coeur. / Tout est présage. La lumière est la moelle de l’ombre : des insectes vont mourir sur les bougies de l’aube. Ainsi : brûlent en moi les signifiés. (...) »
Grande voix de la poésie espagnole d’aujourd’hui, Antonio Gamoneda est une figure emblématique de la littérature européenne. Né à Oviédo en 1931, il vit à Léon depuis 1934. Prix national de poésie (1988) et Prix Castilla et Léon des Lettres. D’une densité et d’une force exceptionnelle, l’œuvre D’Antonio Gamoneda s’est imposée malgré sa reconnaissance tardive comme l’une des plus importante de la poésie espagnole d’aujourd’hui.
Se procurer ce livre : Librairie Ombres Blanches
Se procurer ce livre à Pau : Librairie Tonnet
• VOIR LA PAGE DE PRÉSENTATION DE CETTE LECTURE
OU
VOIR LA RUBRIQUE PRÉSENTANT TOUS LES TEXTES DISPONIBLES
EN (SA)VOIR + :
• Télécharger le dossier sur les lectures : www.ecrireunmouvement.com/lectures-dossier.pdf
• Toutes les photos des Lecture(s) Publique(s) : www.ecrireunmouvement.com/lectures-photos
• Toutes les vidéos des Lecture(s) Publique(s) : www.ecrireunmouvement.com/lectures-videos
• Festival Printemps des poètes : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• La Centrifugeuse : http://mde-culture.univ-pau.fr
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Télécharger notre dossier de saison : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).

Extrait du texte : (les « / » représentent un passage à la ligne) « La lumière bout sous mes paupières // D’un rossignol abîmé dans la cendre, de ses noires entrailles musicales, surgit une tempête. Les pleurs descendent dans les anciennes cavités jaunes, je discerne des fouets vivants / et le regard immobile des bêtes, leur aiguille froide dans mon coeur. / Tout est présage. La lumière est la moelle de l’ombre : des insectes vont mourir sur les bougies de l’aube. Ainsi : brûlent en moi les signifiés. (...) »
Antonio Gamoneda est une figure emblématique de la littérature européenne. D’une densité et d’une force exceptionnelle, son oeuvre s’est imposée malgré sa reconnaissance tardive comme l’une des plus importante de la poésie espagnole d’aujourd’hui.
L’ouvrage d’Antonio Gamoneda, paru aux éditions Fata Morgana, s’intitule "De l’impossibilité", dans une traduction d’Amélia Gamoneda et illustré par Jean-Louis Fauthoux. Une nouvelle édition augmentée est parue chez Arfuyen sous le titre "Clarté sans repos" dans une traduction de Jacques Ancet.
Les "Petites Formes" sont des pièces adaptables à tout type d’espace : appartements, cafés, librairies, bibliothèques, musées, universités, cinémas, plein air. Certaines d’entre elles peuvent aussi être présentées sur scène. Les "Petites Formes" sont techniquement autonomes. En effet, ces projets sont dotés d’une scénographie modulable, comprenant la lumière, le son ainsi que les assises pour les spectateurs (Attention, les espaces de plus de 100m2 nécessitent un équipement supplémentaire). Les "Petites Formes" sont des mises en scène de textes contemporains combinant selon les propositions la danse, la vidéo et la musique live. Les "Petites Formes" peuvent être chuchotées au casque ou déclamées (avec instruments acoustiques) ou encore sonorisées (type concerts de musique amplifiée).
LIENS UTILES :
Dossier de présentation : www.ecrireunmouvement.com/gamoneda.pdf
Quand on organise un festival : www.ecrireunmouvement.com/festival
Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/gamoneda
Et la participation exceptionnelle lors de la première version de cette création de Rasim Biyikli au piano et de Gilbert Traïna au texte.





"L’eau Mate" est le dernier texte de Bernard Manciet (Un Homère gascon, dira Jean-Louis Ezine dans Le Nouvel Observateur). Ce récit en prose est un éloge de la fuite. Il s’agit d’une exploration intime de l’abandon en une tentative de fusion avec la nature. On y suit les derniers pas d’un homme comme s’il s’agissait des premiers... Cette métaphore sur la condition humaine livre une issue sans réponse dont l’apaisement n’est qu’encre, écriture et poésie. Côté mise en scène, chuchoté au casque ce texte est adapté sur une musique de Ghislain Jantroy.
Extrait de L’eau Mate : « Puis je compris que les tiges, les racines, et le moindre brin d’herbe crissaient de la même peur que moi, une peur légère, assurément, mais très ancienne, et qui ne s’apaiserait qu’au terme de longues vagues d’années. Il ne s’agissait en somme que d’une crainte presque joyeuse. Nous nous retirerions dans la pénombre, aussi loin que possible du beau temps, atroce, pour une attente qui n’en finirait pas. (...) »
Bernard Manciet (1923-2005) est né à Sabres dans les Landes, il suit une courte carrière dans la diplomatie, et consacre sa vie à l’écriture. Il choisit l’occitan gascon comme langue poétique et a été un des membres actifs de la revue Oc. Il a publié une quarantaine d’ouvrages, dont une grande partie est éditée aux éditions L’Escampette. Depuis 1985, il proposait avec son ami musicien Bernard Lubat, des joutes poétiques notamment lors du festival d’Uzeste.
Le texte de Bernard Manciet est publié aux éditions L’escampette.
Quand on organise un festival : Le Printemps des poètes à Pau :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
Voir la rubrique sur les manifestations exceptionnelles :
www.ecrireunmouvement.com/evenements
Lien pour accéder directement à cette page :
www.ecrireunmouvement.com/manciet

Les "Petites Formes" sont techniquement autonomes. En effet, ces projets sont dotés d’une scénographie modulable, comprenant la lumière, le son ainsi que les assises pour les spectateurs.
Les "Petites Formes" sont des mises en scène de textes contemporains combinant selon les propositions la danse, la vidéo et la musique live.
Les "Petites Formes" peuvent être chuchotées au casque ou déclamées (avec instruments acoustiques) ou encore sonorisées (type concerts de musique amplifiée).
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact
PARTENAIRES :

Pièce commandée par la Centrifugeuse et créée lors du festival "Regarder sur les côtés" en Octobre 2008.



En seconde partie : Solo de Ryan K (Guitare)
Lieu : Chez Jean-Lou Caumont / Pau (64000)
Contact & Résa : La Centrifugeuse au 05 59 40 72 93
Date et horaires : Mardi 10 mars 2009 à 20h30
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
En quelques mots :
"L’eau Mate" est le dernier texte de Bernard Manciet (Un Homère gascon, dira Jean-Louis Ezine dans Le Nouvel Observateur). Ce récit en prose est un éloge de la fuite. Il s’agit d’une exploration intime de l’abandon en une tentative de fusion avec la nature. On y suit les derniers pas d’un homme comme s’il s’agissait des premiers... Cette métaphore sur la condition humaine livre une issue sans réponse dont l’apaisement n’est qu’encre, écriture et poésie. Côté mise en scène, sur une musique de Ghislain Jantroy, la voix égraine le temps comme ces quelques glaçons espérant fondre au creux d’une main...
EN SA(VOIR) + :

• Détail de l’édition 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
• Dossier de Presse 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009.pdf
• Détail de l’édition 2008 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
• Présentations des oeuvres : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Printemps des poètes (National) : www.printempsdespoetes.com
• Sur le printemps des poètes à Pau : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
QUELQUES TRACES DU FESTIVAL 2008 :




Contact & Résa : La Centrifugeuse au 05 59 40 72 93
Date et horaires : Mardi 10 mars 2009 à 20h30
En quelques mots :
"L’eau Mate" est le dernier texte de Bernard Manciet (Un Homère gascon, dira Jean-Louis Ezine dans Le Nouvel Observateur). Ce récit en prose est un éloge de la fuite. Il s’agit d’une exploration intime de l’abandon en une tentative de fusion avec la nature. On y suit les derniers pas d’un homme comme s’il s’agissait des premiers... Cette métaphore sur la condition humaine livre une issue sans réponse dont l’apaisement n’est qu’encre, écriture et poésie. Côté mise en scène, sur une musique de Ghislain Jantroy, la voix égraine le temps comme ces quelques glaçons espérant fondre au creux d’une main...
EN SA(VOIR) + :
• Détail de l’édition 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
• Dossier de Presse 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009.pdf
• Détail de l’édition 2008 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
• Présentations des oeuvres : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Printemps des poètes (National) : www.printempsdespoetes.com
• Sur le printemps des poètes à Pau : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
QUELQUES TRACES DU FESTIVAL 2008 :




Lieu : Maison de l’Étudiant / Domaine Universitaire / 64000 PAU
Contact & Résa : 05.59.40.72.93 / Email
Résa pro et invitation : Catherine Luro : 05.40.07.02.77 / Email
Comment venir : Voir le plan d’accès : www.ecrireunmouvement.com/plan-mde
Date & Horaire : Mardi 21 Octobre 2008 / 12h30
Entrée : Gratuite
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20081014
Télécharger le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20081014.pdf
En quelques mots :
"L’eau Mate" est le dernier texte de Bernard Manciet (Un Homère gascon, dira Jean-Louis Ezine dans Le Nouvel Observateur). Ce récit en prose est un éloge de la fuite. Il s’agit d’une exploration intime de l’abandon en une tentative de fusion avec la nature. On y suit les derniers pas d’un homme comme s’il s’agissait des premiers... Cette métaphore sur la condition humaine livre une issue sans réponse dont l’apaisement n’est qu’encre, écriture et poésie. Côté mise en scène, sur une musique de Ghislain Jantroy, la voix égraine le temps comme ces quelques glaçons espérant fondre au creux d’une main... (Lire la suite... Présentation détaillée, vidéo, photos, etc... : www.ecrireunmouvement.com/manciet-leaumate)
Pièce commandée par la Centrifugeuse et créée lors du festival "Regarder sur les côtés" en Octobre 2008 / Production : Enfin le Jour - Écrire un Mouvement / Co-Production : La Centrifugeuse (Service Culturel de l’Université de Pau) / Partenaires : Ville de Pau / Conseil Général 64 / Région Aquitaine / DRAC Aquitaine / Soutiens : Cumamovi (Pau) / Scène de musique actuelle AMPLI (Pau).
EN SA(VOIR) + :

• Voir toutes les petites formes disponibles : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Quand on organise un festival : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Toutes les photos des Petites Formes : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes-photos
• Toutes les vidéos des Petites Formes : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes-videos
• La Centrifugeuse : http://mde-culture.univ-pau.fr
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Télécharger notre dossier de saison : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf




Lieu : Maison de l’Étudiant / Domaine Universitaire / 64000 PAU
Contact & Résa : 05.59.40.72.93 / Email
Résa pro et invitation : Catherine Luro : 05.40.07.02.77 / Email
Comment venir : Voir le plan d’accès : www.ecrireunmouvement.com/plan-mde
Date & Horaire : Mardi 14 Octobre 2008 / 19h
Entrée : Gratuite
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20081014
Télécharger le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20081014.pdf
En quelques mots :
"L’eau Mate" est le dernier texte de Bernard Manciet (Un Homère gascon, dira Jean-Louis Ezine dans Le Nouvel Observateur). Ce récit en prose est un éloge de la fuite. Il s’agit d’une exploration intime de l’abandon en une tentative de fusion avec la nature. On y suit les derniers pas d’un homme comme s’il s’agissait des premiers... Cette métaphore sur la condition humaine livre une issue sans réponse dont l’apaisement n’est qu’encre, écriture et poésie. Côté mise en scène, sur une musique de Ghislain Jantroy, la voix égraine le temps comme ces quelques glaçons espérant fondre au creux d’une main... (Lire la suite... Présentation détaillée, vidéo, photos, etc... : www.ecrireunmouvement.com/manciet-leaumate)
Pièce commandée par la Centrifugeuse et créée lors du festival "Regarder sur les côtés" en Octobre 2008 / Production : Enfin le Jour - Écrire un Mouvement / Co-Production : La Centrifugeuse (Service Culturel de l’Université de Pau) / Partenaires : Ville de Pau / Conseil Général 64 / Région Aquitaine / DRAC Aquitaine / Soutiens : Cumamovi (Pau) / Scène de musique actuelle AMPLI (Pau).
EN SA(VOIR) + :

• Voir toutes les petites formes disponibles : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Quand on organise un festival : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Toutes les photos des Petites Formes : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes-photos
• Toutes les vidéos des Petites Formes : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes-videos
• La Centrifugeuse : http://mde-culture.univ-pau.fr
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Télécharger notre dossier de saison : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf

LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
"L’eau Mate" est le dernier texte de Bernard Manciet (Un Homère gascon, dira Jean-Louis Ezine dans Le Nouvel Observateur). Ce récit en prose est un éloge de la fuite. Il s’agit d’une exploration intime de l’abandon en une tentative de fusion avec la nature. On y suit les derniers pas d’un homme comme s’il s’agissait des premiers... Cette métaphore sur la condition humaine livre une issue sans réponse dont l’apaisement n’est qu’encre, écriture et poésie. Côté mise en scène, chuchoté au casque ce texte est adapté sur une musique de Ghislain Jantroy.
Extrait de L’eau Mate : « Puis je compris que les tiges, les racines, et le moindre brin d’herbe crissaient de la même peur que moi, une peur légère, assurément, mais très ancienne, et qui ne s’apaiserait qu’au terme de longues vagues d’années. Il ne s’agissait en somme que d’une crainte presque joyeuse. Nous nous retirerions dans la pénombre, aussi loin que possible du beau temps, atroce, pour une attente qui n’en finirait pas. (...) »
Bernard Manciet (1923-2005) est né à Sabres dans les Landes, il suit une courte carrière dans la diplomatie, et consacre sa vie à l’écriture. Il choisit l’occitan gascon comme langue poétique et a été un des membres actifs de la revue Oc. Il a publié une quarantaine d’ouvrages, dont une grande partie est éditée aux éditions L’Escampette. Depuis 1985, il proposait avec son ami musicien Bernard Lubat, des joutes poétiques notamment lors du festival d’Uzeste.
Le texte de Bernard Manciet est publié aux éditions L’escampette.
Quand on organise un festival : Le Printemps des poètes à Pau :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
Voir la rubrique sur les manifestations exceptionnelles :
www.ecrireunmouvement.com/evenements
Lien pour accéder directement à cette page :
www.ecrireunmouvement.com/manciet

Les "Petites Formes" sont techniquement autonomes. En effet, ces projets sont dotés d’une scénographie modulable, comprenant la lumière, le son ainsi que les assises pour les spectateurs.
Les "Petites Formes" sont des mises en scène de textes contemporains combinant selon les propositions la danse, la vidéo et la musique live.
Les "Petites Formes" peuvent être chuchotées au casque ou déclamées (avec instruments acoustiques) ou encore sonorisées (type concerts de musique amplifiée).
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact





On découvre ce texte comme on entre chez quelqu’un qui vous invite à dîner. On commence par échanger avec légèreté, à parler de tout et de rien, on prend des nouvelles du temps et de la vie. On se sent protégé par les murmures d’une maison de campagne, par les bruits et les odeurs de cuisine. On déguste un verre de vin, on dit "tchin" ou "santé" ou "à la tienne", on parle d’écriture, de solitude, de politique, d’une mouche aussi... Et quand on rentre chez soi, on se souvient qu’il s’agissait de Marguerite Duras... D’un livre... On enlève les casques audio, on dit au revoir au récitant, au chanteur, au guitariste et on sort de la salle... On rallume son portable et on appelle quelqu’un pour l’inviter à dîner, juste pour prolonger le moment, juste pour en parler...
Extrait du texte : « Je crois que c’est ça que je reproche aux livres, en général, c’est qu’ils ne sont pas libres. On le voit à travers l’écriture : ils sont fabriqués, ils sont organisés, réglementés, conformes on dirait. Une fonction de révision que l’écrivain a très souvent envers lui-même. L’écrivain, alors il devient son propre flic. J’entends par là la recherche de la bonne forme, c’est-à-dire de la forme la plus courante, la plus claire et la plus inoffensive. Il y a des générations mortes qui font des livres pudibonds. Même des jeunes : des livres charmants, sans prolongement aucun, sans nuit. Sans silence. Autrement dit : sans véritable auteur. Des livres de jour, de passe-temps, de voyage. Mais pas des livres qui s’incrustent dans la pensée et disent le deuil noir de toute vie, le lieu commun de toute pensée. (...) »
Marguerite Duras (1914-1996), écrivain et dramaturge française, se distingue par la diversité de ses activités. Elle renouvela le genre romanesque et bouscula les conventions théâtrales et cinématographiques comme dialoguiste, scénariste et réalisatrice. Ce fut une femme profondément engagée dans les combats de son temps. Chez elle, rue Saint-Benoît à Paris, s’est réuni depuis la résistance jusqu’aux années 60, un groupe d’intellectuels révolutionnaires qui n’a cessé d’opposer certains principes de subversion et d’insoumission à l’égard de tous les pouvoirs existants, tentant d’intervenir dans la chose publique pour manifester leur opposition à ce que le cours des choses avait d’inacceptable à leurs yeux. Dionys Mascolo, Edgar Morin, Claude Roy et François Mitterrand, entre autres, en ont fait partie.
"On les retrouve, on les a retrouvés à tous les tournants, c’étaient des tempéraments et des caractères généreux qui épousaient les grandes causes, comme en plus ils avaient un très grand talent d’expression, ils méritent d’intéresser votre génération." écrivait François Mitterrand.
Le texte est publié aux éditions Gallimard Folio. Vous pouvez vous procurer ce livre en ligne à la Librairie Ombres Blanches ou vous le procurer à Pau à la Librairie Tonnet
Toutes les Petites Formes :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
Quand on organise un festival : Le Printemps des poètes à Pau :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
Voir la rubrique sur les manifestations exceptionnelles :
www.ecrireunmouvement.com/evenements
Lien pour accéder directement à cette page :
www.ecrireunmouvement.com/duras

Les "Petites Formes" sont techniquement autonomes. En effet, ces projets sont dotés d’une scénographie modulable, comprenant la lumière, le son ainsi que les assises pour les spectateurs.
Les "Petites Formes" sont des mises en scène de textes contemporains combinant selon les propositions la danse, la vidéo et la musique live.
Les "Petites Formes" peuvent être chuchotées au casque ou déclamées (avec instruments acoustiques) ou encore sonorisées (type concerts de musique amplifiée).
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact
PARTENAIRES :

La première de cette création eu lieu au Théâtre de la Maison de l’Étudiant (Pau) dans le cadre d’un festival en hommage à Marguerite Duras (Rubrique Événement), et recréée dans sa version définitive en Mars 2008 lors du printemps des poètes à la Librairie Tonnet (Pau).



Lieu : Médiathèque d’Hasparren (64)
Adresse : 11 rue Gaskoina
Date & Horaire : Vendredi 9 Octobre 2009 à 18h30
Entrée : gratuite
Contact & Résa : 05 59 70 16 83
Résa Pros et Invitations : 05 59 84 19 87
Médiathèque d’Hasparren : www.ville-hasparren.fr/site/culture_loisirs/mediatheque
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20091009
Télécharger le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20091009.pdf
En quelques mots :
On découvre ce texte comme on entre chez quelqu’un qui vous invite à dîner. On commence par échanger avec légèreté, à parler de tout et de rien, on prend des nouvelles du temps et de la vie. On se sent protégé par les murmures d’une maison de campagne, par les bruits et les odeurs de cuisine. On déguste un verre de vin, on dit "tchin" ou "santé" ou "à la tienne", on parle d’écriture, de solitude, de politique, d’une mouche aussi... Et quand on rentre chez soi, on se souvient qu’il s’agissait de Marguerite Duras... D’un livre... On enlève les casques audio, on dit au revoir au récitant, au chanteur, au guitariste et on sort de la salle... On rallume son portable et on appelle quelqu’un pour l’inviter à dîner, juste pour prolonger le moment, juste pour en parler...
EN SA(VOIR) + :

• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Commander un DVD de l’une de nos créations




Fréquences : France Musique chez vous : www.radiofrance.fr/services/ecouter/index.php
Date & Horaire : Mercredi 3 Juin à 00h00
L’écouter en ligne après sa diffusion : www.radiofrance.fr/francemusique/em/tapage
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20090603
Télécharger le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20090603.pdf
En quelques mots :
On découvre ce texte comme on entre chez quelqu’un qui vous invite à dîner. On commence par échanger avec légèreté, à parler de tout et de rien, on prend des nouvelles du temps et de la vie. On se sent protégé par les murmures d’une maison de campagne, par les bruits et les odeurs de cuisine. On déguste un verre de vin, on dit "tchin" ou "santé" ou "à la tienne", on parle d’écriture, de solitude, de politique, d’une mouche aussi... Et quand on rentre chez soi, on se souvient qu’il s’agissait de Marguerite Duras... D’un livre... On enlève les casques audio, on dit au revoir au récitant, au chanteur, au guitariste et on sort de la salle... On rallume son portable et on appelle quelqu’un pour l’inviter à dîner, juste pour prolonger le moment, juste pour en parler...
EN SA(VOIR) + :
• Présentations des petites formes : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Commander un DVD de l’une de nos créations





Lieu : Médiathèque de Cambo Les Bains (64)
Contact & Résa : 05 59 29 64 72
Résa Pros et Invitations : 05 59 84 19 87
Date & Horaire : Mercredi 27 mai à 18h
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20090603
Télécharger le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20090603.pdf
En quelques mots :
On découvre ce texte comme on entre chez quelqu’un qui vous invite à dîner. On commence par échanger avec légèreté, à parler de tout et de rien, on prend des nouvelles du temps et de la vie. On se sent protégé par les murmures d’une maison de campagne, par les bruits et les odeurs de cuisine. On déguste un verre de vin, on dit "tchin" ou "santé" ou "à la tienne", on parle d’écriture, de solitude, de politique, d’une mouche aussi... Et quand on rentre chez soi, on se souvient qu’il s’agissait de Marguerite Duras... D’un livre... On enlève les casques audio, on dit au revoir au récitant, au chanteur, au guitariste et on sort de la salle... On rallume son portable et on appelle quelqu’un pour l’inviter à dîner, juste pour prolonger le moment, juste pour en parler...
EN SA(VOIR) + :
• Présentations des petites formes : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Commander un DVD de l’une de nos créations





En seconde partie : Moraine
avec David Guionneau (Batterie), Frédéric Jouanlong (Voix) et Ryan Kernoa (Guitare)
Lieu : Chez Jean-Lou Caumont / Pau (64000)
Contact & Résa : La Centrifugeuse au 05 59 40 72 93
Date et horaires : Lundi 9 mars 2009 à 20h30
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
En quelques mots :
On découvre ce texte comme on entre chez quelqu’un qui vous invite à dîner. On commence par échanger avec légèreté, à parler de tout et de rien, on prend des nouvelles du temps et de la vie. On se sent protégé par les murmures d’une maison de campagne, par les bruits et les odeurs de cuisine. On déguste un verre de vin, on dit "tchin" ou "santé" ou "à la tienne", on parle d’écriture, de solitude, de politique, d’une mouche aussi... Et quand on rentre chez soi, on se souvient qu’il s’agissait de Marguerite Duras... D’un livre... On enlève les casques audio, on dit au revoir au récitant, au chanteur, au guitariste et on sort de la salle... On rallume son portable et on appelle quelqu’un pour l’inviter à dîner, juste pour prolonger le moment, juste pour en parler...
EN SA(VOIR) + :

• Détail de l’édition 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
• Dossier de Presse 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009.pdf
• Détail de l’édition 2008 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
• Présentations des oeuvres : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Printemps des poètes (National) : www.printempsdespoetes.com
• Sur le printemps des poètes à Pau : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
QUELQUES TRACES DU FESTIVAL 2008 :




Contact & Résa : COMPLET
Date et horaires : Mardi 3 mars 2009 à 20h30
En quelques mots :
On découvre ce texte comme on entre chez quelqu’un qui vous invite à dîner. On commence par échanger avec légèreté, à parler de tout et de rien, on prend des nouvelles du temps et de la vie. On se sent protégé par les murmures d’une maison de campagne, par les bruits et les odeurs de cuisine. On déguste un verre de vin, on dit "tchin" ou "santé" ou "à la tienne", on parle d’écriture, de solitude, de politique, d’une mouche aussi... Et quand on rentre chez soi, on se souvient qu’il s’agissait de Marguerite Duras... D’un livre... On enlève les casques audio, on dit au revoir au récitant, au chanteur, au guitariste et on sort de la salle... On rallume son portable et on appelle quelqu’un pour l’inviter à dîner, juste pour prolonger le moment, juste pour en parler...
EN SA(VOIR) + :
• Détail de l’édition 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
• Dossier de Presse 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009.pdf
• Détail de l’édition 2008 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
• Présentations des oeuvres : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Printemps des poètes (National) : www.printempsdespoetes.com
• Sur le printemps des poètes à Pau : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
QUELQUES TRACES DU FESTIVAL 2008 :



Lieu : Centre Culturel de la Courée / 20 rue de Melun / 77090 Collégien
Contact & Résa :
Mairie de Collégien / Tél. : 01.60.35.90.81
Date et horaires :
Dimanche 13 Avril 2008 à 11h & 14h15
En quelques mots :
‘‘Écrire’’ de Marguerite Duras est un essai proposant une réflexion sur l’acte d’écrire et sur la solitude à l’oeuvre dans tout travail d’écriture. (Gallimard Folio / 1995)
Extrait : (...) « Je crois que c’est ça que je reproche aux livres, en général, c’est qu’ils ne sont pas libres. On le voit à travers l’écriture : ils sont fabriqués, ils sont organisés, réglementés, conformes on dirait. Une fonction de révision que l’écrivain a très souvent envers lui-même. L’écrivain, alors il devient son propre flic. J’entends par là la recherche de la bonne forme, c’est-à-dire de la forme la plus courante, la plus claire et la plus inoffensive. Il y a des générations mortes qui font des livres pudibonds. Même des jeunes : des livres charmants, sans prolongement aucun, sans nuit. Sans silence. Autrement dit : sans véritable auteur. Des livres de jour, de passe-temps, de voyage. Mais pas des livres qui s’incrustent dans la pensée et disent le deuil noir de toute vie, le lieu commun de toute pensée. »
Dispositif autonome permettant d’accueillir plus d’une vingtaine d’auditeurs équipés de casques audio dans une grande variété de lieux publics (Extérieur, Librairies, Bibliothèques, salles de spectacles, écoles, universités, bars, etc.). Notamment grâce à la relation d’intimité et d’écoute privilégiée qu’elles induisent, les lectures chuchotées au casque permettent et suscitent de véritables rencontres avec des œuvres littéraires. Ces mises en lectures sont accompagnées, selon les contextes, de musique, de chant, de vidéo ou de danse.
En sa(voir) + :
• Présentation détaillée (distribution, etc...) : Écrire de Marguerite Duras
• Voir toutes les lectures disponibles : www.ecrireunmouvement.com/lectures
• Printemps des poètes : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Toutes nos manifestations exceptionnelles : www.ecrireunmouvement.com/evenements
• Voir l’espace dédié aux professionnels : www.ecrireunmouvement.com/espace-pro
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes


LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
On découvre ce texte comme on entre chez quelqu’un qui vous invite à dîner. On commence par échanger avec légèreté, à parler de tout et de rien, on prend des nouvelles du temps et de la vie. On se sent protégé par les murmures d’une maison de campagne, par les bruits et les odeurs de cuisine. On déguste un verre de vin, on dit "tchin" ou "santé" ou "à la tienne", on parle d’écriture, de solitude, de politique, d’une mouche aussi... Et quand on rentre chez soi, on se souvient qu’il s’agissait de Marguerite Duras... D’un livre... On enlève les casques audio, on dit au revoir au récitant, au chanteur, au guitariste et on sort de la salle... On rallume son portable et on appelle quelqu’un pour l’inviter à dîner, juste pour prolonger le moment, juste pour en parler...
Extrait du texte : « Je crois que c’est ça que je reproche aux livres, en général, c’est qu’ils ne sont pas libres. On le voit à travers l’écriture : ils sont fabriqués, ils sont organisés, réglementés, conformes on dirait. Une fonction de révision que l’écrivain a très souvent envers lui-même. L’écrivain, alors il devient son propre flic. J’entends par là la recherche de la bonne forme, c’est-à-dire de la forme la plus courante, la plus claire et la plus inoffensive. Il y a des générations mortes qui font des livres pudibonds. Même des jeunes : des livres charmants, sans prolongement aucun, sans nuit. Sans silence. Autrement dit : sans véritable auteur. Des livres de jour, de passe-temps, de voyage. Mais pas des livres qui s’incrustent dans la pensée et disent le deuil noir de toute vie, le lieu commun de toute pensée. (...) »
Marguerite Duras (1914-1996), écrivain et dramaturge française, se distingue par la diversité de ses activités. Elle renouvela le genre romanesque et bouscula les conventions théâtrales et cinématographiques comme dialoguiste, scénariste et réalisatrice. Ce fut une femme profondément engagée dans les combats de son temps. Chez elle, rue Saint-Benoît à Paris, s’est réuni depuis la résistance jusqu’aux années 60, un groupe d’intellectuels révolutionnaires qui n’a cessé d’opposer certains principes de subversion et d’insoumission à l’égard de tous les pouvoirs existants, tentant d’intervenir dans la chose publique pour manifester leur opposition à ce que le cours des choses avait d’inacceptable à leurs yeux. Dionys Mascolo, Edgar Morin, Claude Roy et François Mitterrand, entre autres, en ont fait partie.
"On les retrouve, on les a retrouvés à tous les tournants, c’étaient des tempéraments et des caractères généreux qui épousaient les grandes causes, comme en plus ils avaient un très grand talent d’expression, ils méritent d’intéresser votre génération." écrivait François Mitterrand.
Le texte est publié aux éditions Gallimard Folio. Vous pouvez vous procurer ce livre en ligne à la Librairie Ombres Blanches ou vous le procurer à Pau à la Librairie Tonnet
Toutes les Petites Formes :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
Quand on organise un festival : Le Printemps des poètes à Pau :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
Voir la rubrique sur les manifestations exceptionnelles :
www.ecrireunmouvement.com/evenements
Lien pour accéder directement à cette page :
www.ecrireunmouvement.com/duras

Les "Petites Formes" sont techniquement autonomes. En effet, ces projets sont dotés d’une scénographie modulable, comprenant la lumière, le son ainsi que les assises pour les spectateurs.
Les "Petites Formes" sont des mises en scène de textes contemporains combinant selon les propositions la danse, la vidéo et la musique live.
Les "Petites Formes" peuvent être chuchotées au casque ou déclamées (avec instruments acoustiques) ou encore sonorisées (type concerts de musique amplifiée).
Conception et Mise en scène : Thierry Escarmant / Texte : Gilbert Traïna / Musiciens et compositeurs : Ryan Kernoa (Guitare), Frédéric Jouanlong (Chant), Habillage sonore : Gilles Lahonda / Scénographes : Vanessa Caque, Maria Javaloyes / Constructeurs : Karl Sainsot, Thierry Hausseguy / Sons off : Vanessa Caque et Thierry Hausseguy / Et la participation lors de la première version de cette création de : Lucile Guin (Danse), Yui Mitsuhashi (Danse), Fanny Avram (Texte), Thierry Escarmant (Texte), Thierry Hausseguy (Habillage sonore & Régie)
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact


Des superpositions de boucles mélodiques à la guitare… Une voix entre complicité et colère, urgence et lucidité… Parfois bouclée, parfois saisi entre rythmiques mécaniques et guitare éthérées. Ce qui se dégage de ce moment ressemble moins à la lassitude d’un individu qu’à une série de questions qui passées le filtre du témoignage s’invitent dans nos représentations. Autant dire que l’on s’attache vite aux considérations de Dagerman, à ses aveux de handicap, à ses lassitudes, à sa clairvoyance, à son humanité.
Notre besoin de consolation est impossible à rassasier, extrait :
« Je suis dépourvu de foi et ne puis donc être heureux, car un homme qui risque de craindre que sa vie ne soit une errance absurde vers une mort certaine ne peut être heureux. Je n’ai reçu en héritage ni dieu, ni point fixe sur la terre d’où je puisse attirer l’attention d’un dieu : on ne m’a pas non plus légué la fureur bien déguisée du sceptique, les ruses de Sioux du rationaliste ou la candeur ardente de l’athée. Je n’ose donc jeter la pierre ni à celle qui croit en des choses qui ne m’inspirent que le doute, ni à celui qui cultive son doute comme si celui-ci n’était pas, lui aussi, entouré de ténèbres. Cette pierre m’atteindrait moi-même car je suis bien certain d’une chose : le besoin de consolation que connaît l’être humain est impossible à rassasier. (...) »
Stig Dagerman est un écrivain et journaliste suédois né le 5 octobre 1923 à Älvkarleby et mort le 4 novembre 1954 à Danderyd.
Se procurer ce livre : Librairie Ombres Blanches
Se procurer ce livre à Pau : Librairie Tonnet

• Festival Printemps des poètes : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Voir la rubrique sur les manifestations exceptionnelles : www.ecrireunmouvement.com/evenements
• Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/dagerman
• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact
PARTENAIRES :




Réservations : Librairie Tonnet / 3 Bis place Marguerite Laborde / 05 59 30 77 33
Pros et invitations : 05 59 84 19 87
Date & Horaire : Vendredi 2 octobre à 21h00
Lieu : Théâtre Saint-Louis, rue St Louis, Pau (64)
Durée : 30’
Entrée : gratuit
Festival Un Aller-retour dans le noir : www.unallerretourdanslenoir.com
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20091002
Télécharger le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20091002.pdf
En quelques mots :
Des superpositions de boucles mélodiques à la guitare… Une voix entre complicité et colère, urgence et lucidité… Parfois bouclée, parfois saisi entre rythmiques mécaniques et guitare éthérées. Ce qui se dégage de ce moment ressemble moins à la lassitude d’un individu qu’à une série de questions qui passées le filtre du témoignage s’invitent dans nos représentations. Autant dire que l’on s’attache vite aux considérations de Dagerman, à ses aveux de handicap, à ses lassitudes, à sa clairvoyance, à son humanité.
EN SA(VOIR) + :

• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Commander un DVD de l’une de nos créations




En seconde partie : Solo de Nicolas Lafourest (Guitare)
Lieu : Chez Jean-Paul Oddos / Pau (64000)
Contact & Résa : La Centrifugeuse au 05 59 40 72 93
Date et horaires : Jeudi 12 mars 2009 à 20h30
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
En quelques mots :
Des superpositions de boucles mélodiques à la guitare… Une voix entre complicité et colère, urgence et lucidité… Parfois bouclée, parfois saisie entre rythmiques mécaniques et guitare éthérées. Ce qui se dégage de ce moment ressemble moins à la lassitude d’un individu qu’à une série de questions qui, passé le filtre du témoignage, s’invitent dans nos représentations. Autant dire que l’on s’attache vite aux considérations de Dagerman, à ses aveux de handicap, à ses lassitudes, à sa clairvoyance, à son humanité.
EN SA(VOIR) + :

• Détail de l’édition 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
• Dossier de Presse 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009.pdf
• Détail de l’édition 2008 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
• Présentations des oeuvres : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Printemps des poètes (National) : www.printempsdespoetes.com
• Sur le printemps des poètes à Pau : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
QUELQUES TRACES DU FESTIVAL 2008 :




En seconde partie :
Stéphane Garin (percussions) et Ghislain Jantroy (électronique)
Lieu : Chez Pauline Chasseriaud / Pau (64000)
Contact & Résa : La Centrifugeuse au 05 59 40 72 93
Date et horaires : Mercredi 11 mars 2009 à 20h30
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
En quelques mots :
Des superpositions de boucles mélodiques à la guitare… Une voix entre complicité et colère, urgence et lucidité… Parfois bouclée, parfois saisi entre rythmiques mécaniques et guitare éthérées. Ce qui se dégage de ce moment ressemble moins à la lassitude d’un individu qu’à une série de questions qui passées le filtre du témoignage s’invitent dans nos représentations. Autant dire que l’on s’attache vite aux considérations de Dagerman, à ses aveux de handicap, à ses lassitudes, à sa clairvoyance, à son humanité.
EN SA(VOIR) + :

• Détail de l’édition 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
• Dossier de Presse 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009.pdf
• Détail de l’édition 2008 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
• Présentations des oeuvres : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Printemps des poètes (National) : www.printempsdespoetes.com
• Sur le printemps des poètes à Pau : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
QUELQUES TRACES DU FESTIVAL 2008 :




ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
Des superpositions de boucles mélodiques à la guitare… Une voix entre complicité et colère, urgence et lucidité… Parfois bouclée, parfois saisi entre rythmiques mécaniques et guitare éthérées. Ce qui se dégage de ce moment ressemble moins à la lassitude d’un individu qu’à une série de questions qui passées le filtre du témoignage s’invitent dans nos représentations. Autant dire que l’on s’attache vite aux considérations de Dagerman, à ses aveux de handicap, à ses lassitudes, à sa clairvoyance, à son humanité.
Notre besoin de consolation est impossible à rassasier, extrait :
« Je suis dépourvu de foi et ne puis donc être heureux, car un homme qui risque de craindre que sa vie ne soit une errance absurde vers une mort certaine ne peut être heureux. Je n’ai reçu en héritage ni dieu, ni point fixe sur la terre d’où je puisse attirer l’attention d’un dieu : on ne m’a pas non plus légué la fureur bien déguisée du sceptique, les ruses de Sioux du rationaliste ou la candeur ardente de l’athée. Je n’ose donc jeter la pierre ni à celle qui croit en des choses qui ne m’inspirent que le doute, ni à celui qui cultive son doute comme si celui-ci n’était pas, lui aussi, entouré de ténèbres. Cette pierre m’atteindrait moi-même car je suis bien certain d’une chose : le besoin de consolation que connaît l’être humain est impossible à rassasier. (...) »
Stig Dagerman est un écrivain et journaliste suédois né le 5 octobre 1923 à Älvkarleby et mort le 4 novembre 1954 à Danderyd.
Se procurer ce livre : Librairie Ombres Blanches
Se procurer ce livre à Pau : Librairie Tonnet

• Festival Printemps des poètes : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Voir la rubrique sur les manifestations exceptionnelles : www.ecrireunmouvement.com/evenements
• Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/dagerman
• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
Conception : Ghislain Jantroy / Mise en lecture : Thierry Escarmant / Lecteur : Gilbert Traïna / Musicien et compositeur : Ghislain Jantroy
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact


Précédée de la note d’intention de cette pièce de théâtre.
Extrait de la note d’intention de cette pièce de théâtre : « J’ai écrit cela quand tout le théâtre français (ou presque) se grattait le ventre avec le soi-disant ‘‘théâtre du quotidien’’. Je revenais d’Allemagne - d’un un petit bout d’année de plomb - en France et ma vie se résumait la plupart du temps à essayer de savoir comment le lendemain même j’allais vivre - ou, pour mieux dire, subsister. Ça me faisait rire, les efforts du théâtre du quotidien, tout cet attirail de l’idéologie du compréhensible quand ma propre vie (de sous-prolétaire) s’avérait à chaque seconde comme le comble de l’incompréhensible. En général, je riais. Au mieux. Le plus souvent cela me consternait. On vous vendait de la vie ouvrière ou petite-bourgeoise au mètre linéaire. Cela avait des relents d’Allemagne qui n’existait plus et de France qui ne savait plus à quelle dramaturgie se vouer. J’ai écrit cela en réaction. (...) »
Didier-Georges Gabily est né le 26 août 1955 à Saumur. Écrivain, auteur dramatique, metteur en scène, directeur du groupe T’chan’G, Didier-Georges Gabily, décédé, en août 1996, a été l’une des figures emblématiques du théâtre de bande, ces groupes de francs-tireurs qui opposent à la faiblesse de leurs moyens les armes de la création contemporaine et collective.
Georges-Didier Gabily / Lalla (ou la terreur) / Actes Sud-Papiers / 1998
Se procurer ce livre à Pau : Librairie Tonnet
Quand on organise un festival : Le Printemps des poètes à Pau :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
Voir la rubrique sur les manifestations exceptionnelles :
www.ecrireunmouvement.com/evenements
Lien pour accéder directement à cette page :
www.ecrireunmouvement.com/gabily

Les "Petites Formes" sont techniquement autonomes. En effet, ces projets sont dotés d’une scénographie modulable, comprenant la lumière, le son ainsi que les assises pour les spectateurs.
Les "Petites Formes" sont des mises en scène de textes contemporains combinant selon les propositions la danse, la vidéo et la musique live.
Les "Petites Formes" peuvent être chuchotées au casque ou déclamées (avec instruments acoustiques) ou encore sonorisées (type concerts de musique amplifiée).
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

PARTENAIRES :

Pièce créée lors du printemps des poètes 2008.



Réservations : Le jour même au Pavillon des Arts / Place Royale / 05 59 98 78 33
Pros et invitations : 05 59 84 19 87
Date & Horaire : Dimanche 4 octobre à 14h30
Lieu : Funiculaire, Place Royale, Pau (64)
Durée : 20’
Entrée : gratuit
Festival Un Aller-retour dans le noir : www.unallerretourdanslenoir.com
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20091002
Télécharger le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20091002.pdf
En quelques mots :
Extrait de la note d’intention de cette pièce de théâtre : « J’ai écrit cela quand tout le théâtre français (ou presque) se grattait le ventre avec le soi-disant ‘‘théâtre du quotidien’’. Je revenais d’Allemagne - d’un un petit bout d’année de plomb - en France et ma vie se résumait la plupart du temps à essayer de savoir comment le lendemain même j’allais vivre - ou, pour mieux dire, subsister. Ça me faisait rire, les efforts du théâtre du quotidien, tout cet attirail de l’idéologie du compréhensible quand ma propre vie (de sous-prolétaire) s’avérait à chaque seconde comme le comble de l’incompréhensible. En général, je riais. Au mieux. Le plus souvent cela me consternait. On vous vendait de la vie ouvrière ou petite-bourgeoise au mètre linéaire. Cela avait des relents d’Allemagne qui n’existait plus et de France qui ne savait plus à quelle dramaturgie se vouer. J’ai écrit cela en réaction. (...) »
EN SA(VOIR) + :

• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Commander un DVD de l’une de nos créations




Réservations : Le jour même au Pavillon des Arts / Place Royale / 05 59 98 78 33
Pros et invitations : 05 59 84 19 87
Date & Horaire : Samedi 3 octobre à 14h30 & 16h30
Lieu : Funiculaire, Place Royale, Pau (64)
Durée : 20’
Entrée : gratuit
Festival Un Aller-retour dans le noir : www.unallerretourdanslenoir.com
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20091002
Télécharger le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20091002.pdf
En quelques mots :
Extrait de la note d’intention de cette pièce de théâtre : « J’ai écrit cela quand tout le théâtre français (ou presque) se grattait le ventre avec le soi-disant ‘‘théâtre du quotidien’’. Je revenais d’Allemagne - d’un un petit bout d’année de plomb - en France et ma vie se résumait la plupart du temps à essayer de savoir comment le lendemain même j’allais vivre - ou, pour mieux dire, subsister. Ça me faisait rire, les efforts du théâtre du quotidien, tout cet attirail de l’idéologie du compréhensible quand ma propre vie (de sous-prolétaire) s’avérait à chaque seconde comme le comble de l’incompréhensible. En général, je riais. Au mieux. Le plus souvent cela me consternait. On vous vendait de la vie ouvrière ou petite-bourgeoise au mètre linéaire. Cela avait des relents d’Allemagne qui n’existait plus et de France qui ne savait plus à quelle dramaturgie se vouer. J’ai écrit cela en réaction. (...) »
EN SA(VOIR) + :

• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Commander un DVD de l’une de nos créations




ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
Précédée de la note d’intention de cette pièce de théâtre.
Extrait de la note d’intention de cette pièce de théâtre : « J’ai écrit cela quand tout le théâtre français (ou presque) se grattait le ventre avec le soi-disant ‘‘théâtre du quotidien’’. Je revenais d’Allemagne - d’un un petit bout d’année de plomb - en France et ma vie se résumait la plupart du temps à essayer de savoir comment le lendemain même j’allais vivre - ou, pour mieux dire, subsister. Ça me faisait rire, les efforts du théâtre du quotidien, tout cet attirail de l’idéologie du compréhensible quand ma propre vie (de sous-prolétaire) s’avérait à chaque seconde comme le comble de l’incompréhensible. En général, je riais. Au mieux. Le plus souvent cela me consternait. On vous vendait de la vie ouvrière ou petite-bourgeoise au mètre linéaire. Cela avait des relents d’Allemagne qui n’existait plus et de France qui ne savait plus à quelle dramaturgie se vouer. J’ai écrit cela en réaction. (...) »
Didier-Georges Gabily est né le 26 août 1955 à Saumur. Écrivain, auteur dramatique, metteur en scène, directeur du groupe T’chan’G, Didier-Georges Gabily, décédé, en août 1996, a été l’une des figures emblématiques du théâtre de bande, ces groupes de francs-tireurs qui opposent à la faiblesse de leurs moyens les armes de la création contemporaine et collective.
Georges-Didier Gabily / Lalla (ou la terreur) / Actes Sud-Papiers / 1998
Se procurer ce livre à Pau : Librairie Tonnet
Quand on organise un festival : Le Printemps des poètes à Pau :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
Voir la rubrique sur les manifestations exceptionnelles :
www.ecrireunmouvement.com/evenements
Lien pour accéder directement à cette page :
www.ecrireunmouvement.com/gabily

Les "Petites Formes" sont techniquement autonomes. En effet, ces projets sont dotés d’une scénographie modulable, comprenant la lumière, le son ainsi que les assises pour les spectateurs.
Les "Petites Formes" sont des mises en scène de textes contemporains combinant selon les propositions la danse, la vidéo et la musique live.
Les "Petites Formes" peuvent être chuchotées au casque ou déclamées (avec instruments acoustiques) ou encore sonorisées (type concerts de musique amplifiée).
Conception et Mise en scène : Fanny Avram et Thierry Escarmant / Texte : Fanny Avram / Musiciens et compositeurs : David Guionneau (Percussionniste), Ryan Kernoa (Guitariste) et la participation exceptionnelle lors de certaines représentation de Charley Rose (Saxophoniste) / Scénographes : Vanessa Caque, Maria Javaloyes / Constructeurs : Karl Sainsot, Thierry Hausseguy / Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact


Extrait : (Les « / » représentent un passage à la ligne) « arrachés / à la grotte / / coupés / de la terre / par la soif / / de la main / par le doute / / du verbe / par les mots / / coupés / de nous-mêmes / par l’oeil / insatiable / / tant de fois / orphelins / / et nous / cherchons / la mère / / nous les éprouvés / qui pleurons / sur le seuil / / l’âme et le corps / disjoints / errant / vers d’impossibles / retrouvailles (...) »
Charles Juliet, né le 30 septembre 1934 à Jujurieux dans l’Ain, est un poète, dramaturge et écrivain français. Ses poèmes et autres ouvrages sont traduits en allemand, espagnol, italien, anglais, polonais, japonais, vietnamien, turc, coréen, chinois.

• Festival Printemps des poètes : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Printemps des poètes 2008 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
• Voir la rubrique sur les manifestations exceptionnelles : www.ecrireunmouvement.com/evenements
• Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/juliet
• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact
PARTENAIRES :

Lecture créée lors du printemps des poètes 2008.



Réservations : Librairie Tonnet / 3 Bis place Marguerite Laborde / 05 59 30 77 33
Pros et invitations : 05 59 84 19 87
Date & Horaire : Vendredi 2 octobre à 21h45
Lieu : Théâtre Saint-Louis, rue St Louis, Pau (64)
Durée : 30’
Entrée : gratuit
Festival Un Aller-retour dans le noir : www.unallerretourdanslenoir.com
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20091002
Télécharger le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20091002.pdf
En quelques mots :
Extrait : « arrachés / à la grotte / / coupés / de la terre / par la soif / / de la main / par le doute / / du verbe / par les mots / / coupés / de nous-mêmes / par l’oeil / insatiable / / tant de fois / orphelins / / et nous / cherchons / la mère / / nous les éprouvés / qui pleurons / sur le seuil / / l’âme et le corps / disjoints / errant / vers d’impossibles / retrouvailles (...) »
EN SA(VOIR) + :
• Présentations des petites formes : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Commander un DVD de l’une de nos créations




ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
Extrait : (Les « / » représentent un passage à la ligne) « arrachés / à la grotte / / coupés / de la terre / par la soif / / de la main / par le doute / / du verbe / par les mots / / coupés / de nous-mêmes / par l’oeil / insatiable / / tant de fois / orphelins / / et nous / cherchons / la mère / / nous les éprouvés / qui pleurons / sur le seuil / / l’âme et le corps / disjoints / errant / vers d’impossibles / retrouvailles (...) »
Charles Juliet, né le 30 septembre 1934 à Jujurieux dans l’Ain, est un poète, dramaturge et écrivain français. Ses poèmes et autres ouvrages sont traduits en allemand, espagnol, italien, anglais, polonais, japonais, vietnamien, turc, coréen, chinois.

• Festival Printemps des poètes : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Printemps des poètes 2008 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
• Voir la rubrique sur les manifestations exceptionnelles : www.ecrireunmouvement.com/evenements
• Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/juliet
• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
Conception et Mise en lecture : Thierry Escarmant / Texte : Fanny Avram / Danse : Léone Cats / Musiciens et compositeurs : David Guionneau, Ryan Kernoa, Frédéric Jouanlong, Gilles Lahonda / Scénographes : Vanessa Caque, Maria Javaloyes / Constructeurs : Karl Sainsot, Thierry Hausseguy.
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact





Au centre de l’espace : Un plan d’eau. À l’intérieur : Un corps, étendu sur le dos, un goutte à goutte au-dessus du visage. De part et d’autre : un musicien et un récitant. Autour, une quarantaine de personnes reliées au dispositif par des casques audio. Face à l’immersion lente du corps, l’immersion sonore : entre souffles chorégraphiés et bruissements de syllabes, entre l’impact de l’eau sur la peau et ceux des doigts ou d’un archet sur une guitare.
Après plus d’une quinzaine d’années de créations pour la scène, je souhaitais avec ALPHA questionner ma pratique et proposais à cette fin de quitter les plateaux et les configurations théâtrales classiques, c’est-à-dire frontales. L’objectif visé : mesurer l’incidence des espaces de représentation sur la forme et l’écriture des objets poétiques. Et ce, en termes de structure et de syntaxe du récit, de dramaturgie, ou dans les différentes façons d’aborder le texte, le corps, la musique ou de la vidéo.
C’est ainsi qu’auront été définis, pour ALPHA, la situation scénique et le mode de relation aux spectateurs. A savoir, un bassin d’eau de 9 m2 autour duquel se trouvent un public équipé de casque audio, avec la présence de trois protagonistes à moins d’une trentaine de centimètres. C’est aussi ce qui aura conduit le choix d’une partition musicale interprétée en direct et faisant partie intégrante de cette création.
Côté danse, à l’opposé des partitions chorégraphiées ces dernières années, le mouvement débute à l’endroit même où le contrôle et la maîtrise disparaissent : les réflexes, les mouvements de la respiration, les réactions de la peau. Les calligraphies corporelles naissent de là, de cet endroit où le geste est délivré à la fois de la volonté et de ce qu’il tenterait d’exposer. De plus, la danseuse est équipée d’un micro buccal permettant de percevoir ses plus infimes mouvements.
Côté texte, plusieurs récits s’entremêlent et tentent d’ouvrir un espace poétique où l’entendement serait suspendu. L’introduction l’annonce clairement : « La vie échappe au théâtre parce qu’il s’agit d’un événement sans auteur. Et c’est précisément çà que le théâtre cherche à vaincre vainement : cette différence fondamentale avec n’importe quelle autre tragédie : l’absence de sens. ». S’ensuit la lecture du scénario d’un film dont on découvre, en milieu de pièce, que les personnages principaux sont les personnes réunies autour du dispositif.
La voix du récitant, combiné aux sons des souffles de la danse et aux cordes de la guitare, dessinent une partition sonore complexe et d’une rare sensualité étudiée pour l’écoute au casque.
Les textes d’ALPHA et BETA sont issus d’un même manuscrit inachevé de Thierry Escarmant intitulé « Un retour de flamme sur les yeux grands ouverts ». Les extraits, une fois sélectionnés, ont été réécrits durant les répétitions en vue d’être d’orallisés et en fonction des spécificités dramaturgiques de chacun de ces deux projets.

• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• La Centrifugeuse : http://mde-culture.univ-pau.fr
• Les Grandes Traversées : www.lesgrandestraversees.com
• Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/alpha

• Durée : environ 1h
• Prévu pour tout type d’espace d’au moins 50 m2
• Représentation idéale sur scène avec les spectateurs au plateau
• Jauge limitée à 38 personnes (Possibilité de 2 représentations consécutives avec 1h d’entracte.)
• Dispositif technique audio entièrement autonome.
• Hors tournée, une journée de montage la veille de la représentation est nécessaire.
• Fiche technique détaillée et plan téléchargeable : www.ecrireunmouvement.com/alpha-ft.pdf
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact
PARTENAIRES :

Alpha fût créée en octobre 2007 lors du festival ‘‘Pour regarder sur les côtés’’ (La Centrifugeuse)


RÉCAPITULATIF DES INFOS, PLANS ET LIENS : |
Lieu :
L’imprimerie - 91 bis rue Camille Sauvageau - 33000 Bordeaux Contact & Résa : 05 56 17 05 77 / www.marchesdelete.com / Email
Contact Pro & Invit : 05 59 84 19 87 / Email
Comment venir : Voir le plan d’accès
Date & Horaires : 17 Janvier 2008 / 19h30 & 22h45
Entrée :
Tarif Plein : 6€ / Tarif réduit : 4€ |
En quelques mots : • Au centre de l’espace : un plan d’eau. À l’intérieur : un corps. Étendu sur le dos. Un micro sous la langue. Un goutte à goutte au dessus du visage. • De part et d’autre du corps, assis face à face : deux hommes. Aux pieds : un musicien. À la tête : un récitant. Chacun devant un micro. • Autour, à quelques centimètres : une quarantaine de personnes reliées au dispositif par des casques audio. À l’écoute. Entendent le corps. Les respirations. L’impact de l’eau sur la peau. Et les deux autres voix : un texte, une musique. • Face à cette immersion sonore : l’immersion du corps, jusqu’à l’instant précis où le visage se trouve au-dessous du niveau de l’eau. En sa(voir) + : Vous trouverez dans l’article correspondant toutes les informations et documents concernant ce projet. (description, distribution, partenaires, vidéo, photos et fiche technique) |
|


Lieu : STUDIO HENRI IV / 2 Place de la République / 64000 Pau
Contact & Résa : 05.59.84.19.87 / Email
Comment venir : Voir le plan d’accès / plan d’accès interactif
Date & Horaire :
Dimanche 13 Janvier 2008 / 16h & 18h30
Entrée :
Tarif unique : 10€
Voir le communiqué : www.ecrireunmouvement.com/news20080113
En quelques mots :
• Au centre de l’espace : un plan d’eau. À l’intérieur : un corps. Un homme ou une femme. Étendu sur le dos. Un micro sous la langue. Un goutte à goutte au dessus du visage. • De part et d’autre, assis face à face : deux hommes. Aux pieds : un musicien. À la tête : un récitant. Chacun devant un micro. • Autour, à quelques centimètres : une trentaine de personnes reliées au dispositif par des casques audio. Face à l’immersion lente du corps, l’immersion sonore : entre souffles chorégraphiés et bruissements de syllabes, entre l’impact de l’eau sur la peau et ceux des doigts ou d’un archet sur une guitare.
Alpha a été créée en octobre 2007 lors du festival ‘‘Pour regarder sur les côtés’’ / Production : Enfin le Jour - Écrire un Mouvement / Co-Production : La Centrifugeuse (Service Culturel de l’Université de Pau) / Soutien : Les Grandes Traversées / Partenaires : Ville de Pau / Conseil Général 64 / Région Aquitaine / DRAC Aquitaine
En sa(voir) + :
• Présentation détaillée (vidéo, photos etc.) : www.ecrireunmouvement.com/alpha
• Les rencontres du court / Cie les marches de l’été : www.marchesdelete.com
• Voir la présentation pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/alpha-pro
• Voir l’espace dédié aux professionnels : www.ecrireunmouvement.com/espace-pro
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• La Centrifugeuse : http://mde-culture.univ-pau.fr
• Les Grandes Traversées : www.lesgrandestraversees.com


Contact : 05 59 40 72 93 / www.univ-pau.fr/culture
Date & Horaire : 09 Octobre 2007 / 18h et 21h
Entrée : 5 €
Réservations : : 05 59 40 72 93 (Professionnels : 05 59 84 19 87)
Vous trouverez dans l’article consacré à ALPHA, quelques extraits vidéo, une description de la pièce, une note d’intentions, la distribution et les partenaires de ce projet.

LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
Au centre de l’espace : Un plan d’eau. À l’intérieur : Un corps, étendu sur le dos, un goutte à goutte au-dessus du visage. De part et d’autre : un musicien et un récitant. Autour, une quarantaine de personnes reliées au dispositif par des casques audio. Face à l’immersion lente du corps, l’immersion sonore : entre souffles chorégraphiés et bruissements de syllabes, entre l’impact de l’eau sur la peau et ceux des doigts ou d’un archet sur une guitare.
Après plus d’une quinzaine d’années de créations pour la scène, je souhaitais avec ALPHA questionner ma pratique et proposais à cette fin de quitter les plateaux et les configurations théâtrales classiques, c’est-à-dire frontales. L’objectif visé : mesurer l’incidence des espaces de représentation sur la forme et l’écriture des objets poétiques. Et ce, en termes de structure et de syntaxe du récit, de dramaturgie, ou dans les différentes façons d’aborder le texte, le corps, la musique ou de la vidéo.
C’est ainsi qu’auront été définis, pour ALPHA, la situation scénique et le mode de relation aux spectateurs. A savoir, un bassin d’eau de 9 m2 autour duquel se trouvent un public équipé de casque audio, avec la présence de trois protagonistes à moins d’une trentaine de centimètres. C’est aussi ce qui aura conduit le choix d’une partition musicale interprétée en direct et faisant partie intégrante de cette création.
Côté danse, à l’opposé des partitions chorégraphiées ces dernières années, le mouvement débute à l’endroit même où le contrôle et la maîtrise disparaissent : les réflexes, les mouvements de la respiration, les réactions de la peau. Les calligraphies corporelles naissent de là, de cet endroit où le geste est délivré à la fois de la volonté et de ce qu’il tenterait d’exposer. De plus, la danseuse est équipée d’un micro buccal permettant de percevoir ses plus infimes mouvements.
Côté texte, plusieurs récits s’entremêlent et tentent d’ouvrir un espace poétique où l’entendement serait suspendu. L’introduction l’annonce clairement : « La vie échappe au théâtre parce qu’il s’agit d’un événement sans auteur. Et c’est précisément çà que le théâtre cherche à vaincre vainement : cette différence fondamentale avec n’importe quelle autre tragédie : l’absence de sens. ». S’ensuit la lecture du scénario d’un film dont on découvre, en milieu de pièce, que les personnages principaux sont les personnes réunies autour du dispositif.
La voix du récitant, combiné aux sons des souffles de la danse et aux cordes de la guitare, dessinent une partition sonore complexe et d’une rare sensualité étudiée pour l’écoute au casque.
Les textes d’ALPHA et BETA sont issus d’un même manuscrit inachevé de Thierry Escarmant intitulé « Un retour de flamme sur les yeux grands ouverts ». Les extraits, une fois sélectionnés, ont été réécrits durant les répétitions en vue d’être d’orallisés et en fonction des spécificités dramaturgiques de chacun de ces deux projets.

• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• La Centrifugeuse : http://mde-culture.univ-pau.fr
• Les Grandes Traversées : www.lesgrandestraversees.com
• Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/alpha

• Durée : environ 1h
• Prévu pour tout type d’espace d’au moins 50 m2
• Représentation idéale sur scène avec les spectateurs au plateau
• Jauge limitée à 38 personnes (Possibilité de 2 représentations consécutives avec 1h d’entracte.)
• Dispositif technique audio entièrement autonome.
• Hors tournée, une journée de montage la veille de la représentation est nécessaire.
• Fiche technique détaillée et plan téléchargeable : www.ecrireunmouvement.com/alpha-ft.pdf
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact





Une pièce à voir comme du Théâtre ou à écouter comme un Concert, ou encore, comment faire un tour de grand huit au coeur du cerveau ? Avec trois paires de cordes vocales dont une au chant. Deux guitares dont une baryton. Une batterie. Un saxophone. Des alvéoles amplifiées. Un texte poétique effeuillé entre la langue et le palais. Les signaux HD/PAL des vidéo-projections. Un corps scruté aux rayons x, entre danse et immobilité. Durant 70 minutes, tout est tension, mouvement et flux sonore jusqu’à l’instant où la dernière ampoule va imploser...

Côté texte, bâti sur une profusion de fragments et d’impressions, on glisse lentement d’une conscience s’examinant elle-même, en tant que mécanique, à l’auscultation minutieuse, quasi physiologique, des trajets de cette pensée, en tant qu’activité, dans le corps. Une auscultation qui semble pointer du doigt une issue : suspendre la pensée, la conduire vers un encéphalogramme plat, tenter d’ouvrir un espace où il se pourrait d’être perdu sans être affolé, où l’aporie ne serait plus une menace mais une délivrance. Interprété par deux récitants, à la fois comédiens et danseurs, ce texte est abordé en dehors de toute idée de psychologie ou de personnage. Livré aux timbres et aux textures des voix, ponctué de respirations et de souffles, les sonorités brisent et tissent alternativement le sens et la tension.
Côté chorégraphie, la danse ouvre la pièce avec un solo entièrement de dos dont les souffles et les battements du coeur sont amplifiés. Physiquement, l’essoufflement est la première pulsation à la fois du texte et de la musique. Puis, placé au centre de l’espace, on assiste à une radiographie de ce corps comme sondé en direct aux rayons x. Pour finir, la vidéo vient scruter l’agitation d’une pupille venue condenser l’immobilité du corps qui, durant près d’une heure, architecture cette pièce.
Côté musique, d’abord, il y a la rencontre avec Kourgane, un groupe de free rock composé de deux guitaristes dont une guitare baryton, d’un chanteur et d’un batteur. Une formation choisie pour sa force de projection sur scène et l’intensité de leurs morceaux. Ensuite, il y a la voix, entre souffles, onomatopées et chants, qui tisse une relation de tension permanente entre les récitants et la musique. Ils auront composé, tour à tour, une partition de plus d’une heure, mêlant les climats les plus épurés à des boucles rythmiques nerveuses, alternant retenue et déploiements d’énergie soudains, maintenant le fil d’une tension qui ne cédera, enfin libéré, que sur le dernier morceau. Côté musique, ensuite, il y a un saxophoniste invité : la plupart du temps, il s’agit d’Akosh Szelevenyi ou de Daunik Lazro,

Les textes d’ALPHA et BETA sont issus d’un même manuscrit inachevé de Thierry Escarmant intitulé « Un retour de flamme sur les yeux grands ouverts ». Les extraits, une fois sélectionnés, ont été réécrits durant les répétitions en vue d’être d’orallisés et en fonction des spécificités dramaturgiques de chacun de ces deux projets.


• Présentation d’Akosh Szelevenyi : www.ecrireunmouvement.com/akosh
• Présentation de Daunik Lazro : www.ecrireunmouvement.com/daunik
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Scène de musique actuelle Ampli : www.ampli.asso.fr
• Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/beta

• Hors tournée, une journée de montage la veille de la représentation est nécessaire.
• Fiche technique détaillée et plan téléchargeable : www.ecrireunmouvement.com/beta-ft.pdf
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact
PARTENAIRES :


BETA fût créée en Juin 2007 à la scène de musique actuelle AMPLI (Pau)



Contact & Résa : 02 48 50 38 61
Pros et invitations : 05 59 84 19 87
Date & Horaire : Vendredi 15 janvier 2010 à 21h
Lieu : Salle Le Nadir, friche l’antre peaux / Bourges (18)
Adresse : 26 route de la chapelle, 18000 BOURGES
Itinéraire : http://maps.google.fr/
Durée : environ 70 min
Tarifs : 10 et 5 euros
Le site d’Emmetrop : www.emmetrop.fr.fm
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20100111
Télécharger le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20100111.pdf
En quelques mots :
Une pièce à voir comme du Théâtre ou à écouter comme un Concert, ou encore, comment faire un tour de grand huit au coeur du cerveau ? Avec trois paires de cordes vocales dont une au chant. Deux guitares dont une baryton. Une batterie. Un saxophone. Des alvéoles amplifiées. Un texte poétique effeuillé entre la langue et le palais. Les signaux HD/PAL des vidéo-projections. Un corps scruté aux rayons x, entre danse et immobilité. Durant 70 minutes, tout est tension, mouvement et flux sonore jusqu’à l’instant où la dernière ampoule va imploser...
ÉQUIPE :

Côté plateau :
Julie Dardey (Danse) / Gilbert Traïna et Fanny Avram (Texte) Ryan Kernoa (Guitare) / Fred Jouanlong (Voix) / Gilles Lahonda (Guitare Baryton) / Jérôme Renault (Batterie) / Akosh Szelevenyi (Saxophoniste)
Côté technique :
Pierre Crochetet (Sonorisation) / Médéric Grandet (Vidéo-Projections) / Sylvain Guionneau (Régie générale) / Buthner Manu (Régie Plateau)
Côté création :
Conception, mise en scène, texte et chorégraphie : Thierry Escarmant / Composition musicale : Kourgane / Vidéo-projections : Médéric Grandet et la participation de Jean-Marc Saint-Paul (Images fixes) et de Vincent Meyer (Images 3D) / Scénographie : Gisèle Trembleau / Construction : Karl Sainsot / Assistant Construction : Fabrice Métais / Lumières : Jean-Pierre Legout
EN SA(VOIR) + :

• Présentation détaillée (vidéo, photos etc.) : www.ecrireunmouvement.com/beta
• Présentation de Kourgane : www.ecrireunmouvement.com/kourgane
• Présentation d’Akosh Szelevenyi : www.ecrireunmouvement.com/akosh
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Commander un DVD de l’une de nos créations



Contact & Résa : 05 49 45 47 83
Pros et invitations : 05 59 84 19 87
Date & Horaire : Jeudi 14 janvier 2010 à 20h30
Lieu : Maison des étudiants / Poitiers (86)
Adresse : 101 Av du recteur Pineau
Itinéraire : http://maps.google.fr/
Durée : environ 70 min
Entrée : gratuite
Le site de la Maison des Étudiants de Poitiers : http://etu.univ-poitiers.fr
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20100111
Télécharger le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20100111.pdf
En quelques mots :
Une pièce à voir comme du Théâtre ou à écouter comme un Concert, ou encore, comment faire un tour de grand huit au coeur du cerveau ? Avec trois paires de cordes vocales dont une au chant. Deux guitares dont une baryton. Une batterie. Un saxophone. Des alvéoles amplifiées. Un texte poétique effeuillé entre la langue et le palais. Les signaux HD/PAL des vidéo-projections. Un corps scruté aux rayons x, entre danse et immobilité. Durant 70 minutes, tout est tension, mouvement et flux sonore jusqu’à l’instant où la dernière ampoule va imploser...
ÉQUIPE :

Côté plateau :
Julie Dardey (Danse) / Gilbert Traïna et Fanny Avram (Texte) Ryan Kernoa (Guitare) / Fred Jouanlong (Voix) / Gilles Lahonda (Guitare Baryton) / Jérôme Renault (Batterie) / Daunik Lazro (Saxophoniste)
Côté technique :
Pierre Crochetet (Sonorisation) / Médéric Grandet (Vidéo-Projections) / Sylvain Guionneau (Régie générale) / Buthner Manu (Régie Plateau)
Côté création :
Conception, mise en scène, texte et chorégraphie : Thierry Escarmant / Composition musicale : Kourgane / Vidéo-projections : Médéric Grandet et la participation de Jean-Marc Saint-Paul (Images fixes) et de Vincent Meyer (Images 3D) / Scénographie : Gisèle Trembleau / Construction : Karl Sainsot / Assistant Construction : Fabrice Métais / Lumières : Jean-Pierre Legout
EN SA(VOIR) + :

• Présentation détaillée (vidéo, photos etc.) : www.ecrireunmouvement.com/beta
• Présentation de Kourgane : www.ecrireunmouvement.com/kourgane
• Présentation de Daunik Lazro : www.ecrireunmouvement.com/daunik
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Commander un DVD de l’une de nos créations



Contact & Résa : 05 59 32 93 49
Pros et invitations : 05 59 84 19 87
Date & Horaire : Mardi 12 janvier 2010 à 20h30
Nombre de places : Attention, jauge limitée !
Lieu : Ampli / La Route du Son / Billère (64)
Adresse : Anciens abattoirs, allée Montesquieu, 64140 Billère
Itinéraire : http://maps.google.fr/
Durée : environ 70 min
Tarifs : 15 et 10 euros
Le site d’Ampli : www.ampli.asso.fr/
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20100111
Télécharger le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20100111.pdf
En quelques mots :
Une pièce à voir comme du Théâtre ou à écouter comme un Concert, ou encore, comment faire un tour de grand huit au coeur du cerveau ? Avec trois paires de cordes vocales dont une au chant. Deux guitares dont une baryton. Une batterie. Un saxophone. Des alvéoles amplifiées. Un texte poétique effeuillé entre la langue et le palais. Les signaux HD/PAL des vidéo-projections. Un corps scruté aux rayons x, entre danse et immobilité. Durant 70 minutes, tout est tension, mouvement et flux sonore jusqu’à l’instant où la dernière ampoule va imploser...
ÉQUIPE :

Côté plateau :
Julie Dardey (Danse) / Gilbert Traïna et Fanny Avram (Texte) Ryan Kernoa (Guitare) / Fred Jouanlong (Voix) / Gilles Lahonda (Guitare Baryton) / Vincent Merienne (Batterie) / Éric Pailhé (Saxophone)
Côté technique :
Pierre Crochetet (Sonorisation) / Médéric Grandet (Vidéo-Projections) / Sylvain Guionneau (Régie générale) / Buthner Manu (Régie Plateau)
Côté création :
Conception, mise en scène, texte et chorégraphie : Thierry Escarmant / Composition musicale : Kourgane / Vidéo-projections : Médéric Grandet et la participation de Jean-Marc Saint-Paul (Images fixes) et de Vincent Meyer (Images 3D) / Scénographie : Gisèle Trembleau / Construction : Karl Sainsot / Assistant Construction : Fabrice Métais / Lumières : Jean-Pierre Legout
EN SA(VOIR) + :

• Présentation détaillée (vidéo, photos etc.) : www.ecrireunmouvement.com/beta
• Présentation de Kourgane : www.ecrireunmouvement.com/kourgane
• Présentation d’Éric Pailhé : http://eric.pailhe.free.fr
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Commander un DVD de l’une de nos créations



Contact & Résa : 05 59 32 93 49
Pros et invitations : 05 59 84 19 87
Date & Horaire : Lundi 11 janvier 2010 à 20h30
Nombre de places : Attention, jauge limitée !
Lieu : Ampli / La Route du Son / Billère (64)
Adresse : Anciens abattoirs, allée Montesquieu, 64140 Billère
Itinéraire : http://maps.google.fr/
Durée : environ 70 min
Tarifs : 15 et 10 euros
Le site d’Ampli : www.ampli.asso.fr/
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20100111
Télécharger le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/news20100111.pdf
En quelques mots :
Une pièce à voir comme du Théâtre ou à écouter comme un Concert, ou encore, comment faire un tour de grand huit au coeur du cerveau ? Avec trois paires de cordes vocales dont une au chant. Deux guitares dont une baryton. Une batterie. Un saxophone. Des alvéoles amplifiées. Un texte poétique effeuillé entre la langue et le palais. Les signaux HD/PAL des vidéo-projections. Un corps scruté aux rayons x, entre danse et immobilité. Durant 70 minutes, tout est tension, mouvement et flux sonore jusqu’à l’instant où la dernière ampoule va imploser...
ÉQUIPE :

Côté plateau :
Julie Dardey (Danse) / Gilbert Traïna et Fanny Avram (Texte) Ryan Kernoa (Guitare) / Fred Jouanlong (Voix) / Gilles Lahonda (Guitare Baryton) / Vincent Merienne (Batterie) / Charley Rose (Saxophone)
Côté technique :
Pierre Crochetet (Sonorisation) / Médéric Grandet (Vidéo-Projections) / Sylvain Guionneau (Régie générale) / Buthner Manu (Régie Plateau)
Côté création :
Conception, mise en scène, texte et chorégraphie : Thierry Escarmant / Composition musicale : Kourgane / Vidéo-projections : Médéric Grandet et la participation de Jean-Marc Saint-Paul (Images fixes) et de Vincent Meyer (Images 3D) / Scénographie : Gisèle Trembleau / Construction : Karl Sainsot / Assistant Construction : Fabrice Métais / Lumières : Jean-Pierre Legout
EN SA(VOIR) + :

• Présentation détaillée (vidéo, photos etc.) : www.ecrireunmouvement.com/beta
• Présentation de Kourgane : www.ecrireunmouvement.com/kourgane
• Voir toutes nos créations disponibles : www.ecrireunmouvement.com/creations
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Espace pour les professionnels : www.ecrireunmouvement.com/pro
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
• Commander un DVD de l’une de nos créations


Lieu :
La Centrifugeuse / Maison de l’Étudiant / Domaine Universitaire / 64000 PAU
Contact :
05 59 40 72 93 / www.univ-pau.fr/culture
Date & Horaire :
11 Octobre 2007 / 21H00
Entrée :
5 €
Réservations :
: 05 59 40 72 93 (Professionnels : 05 59 84 19 87)
Retrouvez toutes les infos sur ce projet dans l’article consacré à BETA, ainsi que 2 morceaux extraits du dernier album de Kourgane.


Lieu :
AMPLI (Centre de Musiques Actuelles / Anciens Abattoirs / 64140 Billère
Date & Horaire :
08 et 09 Juin 2007 / 21H00
Réservations : (Attention, nombre de places limité)
: 05 59 84 19 87
Retrouvez toutes les infos sur ce projet dans l’article consacré à BETA, ainsi que 2 morceaux extraits du dernier album de Kourgane.






• Repérer ces articles dans le site > Menu Gauche : Créations > Menu haut : Collaborations
• Plan du site > Menu Gauche : Accueil > Menu haut : Plan


Une pièce à voir comme du Théâtre ou à écouter comme un Concert, ou encore, comment faire un tour de grand huit au coeur du cerveau ? Avec trois paires de cordes vocales dont une au chant. Deux guitares dont une baryton. Une batterie. Un saxophone. Des alvéoles amplifiées. Un texte poétique effeuillé entre la langue et le palais. Les signaux HD/PAL des vidéo-projections. Un corps scruté aux rayons x, entre danse et immobilité. Durant 70 minutes, tout est tension, mouvement et flux sonore jusqu’à l’instant où la dernière ampoule va imploser...

Côté texte, bâti sur une profusion de fragments et d’impressions, on glisse lentement d’une conscience s’examinant elle-même, en tant que mécanique, à l’auscultation minutieuse, quasi physiologique, des trajets de cette pensée, en tant qu’activité, dans le corps. Une auscultation qui semble pointer du doigt une issue : suspendre la pensée, la conduire vers un encéphalogramme plat, tenter d’ouvrir un espace où il se pourrait d’être perdu sans être affolé, où l’aporie ne serait plus une menace mais une délivrance. Interprété par deux récitants, à la fois comédiens et danseurs, ce texte est abordé en dehors de toute idée de psychologie ou de personnage. Livré aux timbres et aux textures des voix, ponctué de respirations et de souffles, les sonorités brisent et tissent alternativement le sens et la tension.
Côté chorégraphie, la danse ouvre la pièce avec un solo entièrement de dos dont les souffles et les battements du coeur sont amplifiés. Physiquement, l’essoufflement est la première pulsation à la fois du texte et de la musique. Puis, placé au centre de l’espace, on assiste à une radiographie de ce corps comme sondé en direct aux rayons x. Pour finir, la vidéo vient scruter l’agitation d’une pupille venue condenser l’immobilité du corps qui, durant près d’une heure, architecture cette pièce.
Côté musique, d’abord, il y a la rencontre avec Kourgane, un groupe de free rock composé de deux guitaristes dont une guitare baryton, d’un chanteur et d’un batteur. Une formation choisie pour sa force de projection sur scène et l’intensité de leurs morceaux. Ensuite, il y a la voix, entre souffles, onomatopées et chants, qui tisse une relation de tension permanente entre les récitants et la musique. Ils auront composé, tour à tour, une partition de plus d’une heure, mêlant les climats les plus épurés à des boucles rythmiques nerveuses, alternant retenue et déploiements d’énergie soudains, maintenant le fil d’une tension qui ne cédera, enfin libéré, que sur le dernier morceau. Côté musique, ensuite, il y a un saxophoniste invité : la plupart du temps, il s’agit d’Akosh Szelevenyi ou de Daunik Lazro,

Les textes d’ALPHA et BETA sont issus d’un même manuscrit inachevé de Thierry Escarmant intitulé « Un retour de flamme sur les yeux grands ouverts ». Les extraits, une fois sélectionnés, ont été réécrits durant les répétitions en vue d’être d’orallisés et en fonction des spécificités dramaturgiques de chacun de ces deux projets.


• Présentation d’Akosh Szelevenyi : www.ecrireunmouvement.com/akosh
• Présentation de Daunik Lazro : www.ecrireunmouvement.com/daunik
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Scène de musique actuelle Ampli : www.ampli.asso.fr
• Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/beta

• Hors tournée, une journée de montage la veille de la représentation est nécessaire.
• Fiche technique détaillée et plan téléchargeable : www.ecrireunmouvement.com/beta-ft.pdf
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact





Deux créations. Un sous-tire commun : J’aimerai quiconque entendra que je crie. Deux créations, donc, (re)liées. L’une en 2014, l’autre en 2016. Un mot pour chacune d’elle. Absence pour la première. Espoir pour la seconde. L’une se propose de lire le cri au travers du prisme que serait l’absence. Titre : (Parc d’)ATTRACTION(s). L’autre de lire l’espoir au travers du prisme que serait le cri. Titre : No(w) Hope.
Au départ cette pièce devait s’intituler : ‘‘Un3Mars1996’’, jour de la disparition de Marguerite Duras. Il devait s’agir d’un hommage. Finalement, ce ne sera pas le cas.
Pourquoi ? Disons, qu’on est mal tombé. 2014 était une mauvaise année. Plus précisément l’année à éviter pour un tel projet.
Un petit éclaircissement pour ceux qui auraient échappé au matraquage de ces derniers mois : 2014 aurait été l’année où Duras aurait eu 100 ans. Paraît-il que ça se fête. C’est anecdotique, certes. Insignifiant, pourrions-nous dire. Ingénieux, aussi. D’autant qu’en 2016, elle sera morte depuis 20 ans et que nous assisterons à une nouvelle vague de mémoire à code barre.
Bref, tout aussi incompatible que cela puisse paraître tant avec l’œuvre qu’avec la femme, il nous fallait faire avec ça. Le cru ou plutôt la crue Duras 2014.
Nous étions d’accord, Manon et moi, sur ce point, sur cette indigeste-si-soudaine-sur-abondance-de-présence ; permettant, au mieux, de côtoyer son œuvre, au pire d’assister à la répétition de quelques stéréotypes durassiens plus qu’élimés (par ailleurs déjà très encombrants de son vivant).
Bref, nous étions donc d’accord pour ne plus trop afficher ce mot-là, hommage, s’éviter de participer de ça, s’éviter d’en être. Pas de commémoration, donc. Pas d’idem supplémentaire ajouté à la liste des rues, squares et autres établissement publics portant son nom.
Néanmoins, comme on le dirait de l’alcool ou d’une drogue, nous pourrons parler d’une pièce sous emprise, sous l’emprise ou sous influence de quelqu’un, en l’occurrence de Marguerite Duras.
C’est ajouté aussi ce constat, cette évidence simple : le problème n’était pas de se souvenir de Duras, le problème (insoluble) c’était l’absence de Duras. Son absence aujourd’hui. Elle entre autres. Elle parmi d’autres. Ces autres, c’est-à-dire tous ceux qui aujourd’hui nous font défaut, tous ceux auxquels nous voudrions avoir recours, tous ceux dont on se surprend encore à rêver leurs réactions face au monde. Monde social et/ou politique et/ou culturel et/ou artistique et/ou et cætera. Et des cris qui l’enveloppent, cris de colère et/ou de douleur et/ou de révolte et/ou de joie (il doit y en avoir) et/ou et cætera. Toute exhaustivité serait absurde et/ou nécessiterait un dossier supplémentaire, citons tout de même (histoire de savoir où on est) parmi eux : Roland Barthes, Didier Georges Gabily, Vladimir Jankélévitch, Samuel Beckett, Pina Bausch, Jacques Dupin, Michel Foucault ou Pierre Bourdieu.
En cette période trouble où l’on sait que la guerre est déclarée (Une guerre visant à liquider purement et simplement, disait Bernard Stiegler, l’expérience esthétique. / Entre autres, ajouterons-nous…) La question ne serait plus la résistance mais le combat. Pas d’avenir dans la résistance. Pas de résistance possible en tant que posture politique, précisait-il. L’avenir serait dans l’invention. En résumé, ne plus dénoncer mais énoncer. Déclencher le désir d’une autre histoire. Rendre possible ce désir-là. Et se souvenir de l’urgence fondamentale : savoir contre quoi et surtout pour quoi (en deux mots, autrement dit, pour quel quoi) nous nous battons.
C’est au cœur d’un théâtre plus évidé que vide que nous proposons de placer cette création. Un espace habité de souvenirs et de la présence de ces absents dont la pensée nous manque aujourd’hui... Un espace de confusion volontaire entre « avant » et « maintenant », où résonne la mémoire d’un espoir : celui d’un « après » loin du prévisible annoncé.
Thierry Escarmant et Manon Avram ont choisi d’associer leurs deux compagnies durant six années. De cette collaboration émaneront 3 créations : Qu’avez-vous vu ? (2012) ; (Parc d’)ATTRACTION(s) (2014) ; No(w) Hope (2016).
Au-delà de la dimension artistique, cette volonté est une tentative d’envisager d’autres façons de produire une oeuvre, notamment en fidélisant une équipe avec laquelle les deux compagnies se sont engagées sur cette période.
Ce projet inter-régional se voudrait être aussi un espace d’expérimentation (concret) des pratiques de mutualisation des moyens et des compétences.
À mi-parcours, il apparaît probable que cette démarche se poursuive après 2016, sans toutefois que la co-signature des oeuvres soit nécessaire.
D’un point de vue thématique, les créations 2014 et 2016 portent le même sous-titre (J’aimerai quiconque entendra que je crie). Il s’agira donc d’un diptyque. Néanmoins, à quelques mois de la création 2014, nous percevons qu’elle se trouve être dans la lignée de ‘‘Qu’avez-vous vu ?’’ et pensons donc que ces 3 créations pourraient s’apparenter à un triptyque, tentant de maintenir en tension la question de l’engagement et de la porosité entre le politique et le poétique.

• Dossier de présentation PDF : www.ecrireunmouvement.com/attraction.pdf
• Site de Manon Avram : www.collectifko.com
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Équipes projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/equipe
• Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/attraction
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

PARTENAIRES :

Co-Productions, Accueils studio et Soutiens : La Centrifugeuse (Service Culturel Université de Pau), Ballet National de Marseille.
Partenaires du collectif K.O.com : la DGAC Ville de Marseille, le Conseil Général des Bouches-du-Rhône, le Conseil Régional Provence Alpes Côtes d’Azur.
Partenaires de la compagnie Écrire un Mouvement : la Ville de Pau, la DRAC aquitaine - Ministère de la Culture, le Conseil Général des Pyrénées Atlantiques et le Conseil Régional d’Aquitaine.


Voir le communiqué de présentation en ligne (lieu, résa, photos, etc) :
www.ecrireunmouvement.com/news20140919
Télécharger le communiqué de présentation (lieu, résa, photos, etc) :
www.ecrireunmouvement.com/news20140919.pdf
En quelques mots :
Deux créations. Un sous-tire commun : J’aimerai quiconque entendra que je crie. Deux créations, donc, (re)liées. L’une en 2014, l’autre en 2016. Un mot pour chacune d’elle. Absence pour la première. Espoir pour la seconde. L’une se propose de lire le cri au travers du prisme que serait l’absence. Titre : (Parc d’)ATTRACTION(s). L’autre de lire l’espoir au travers du prisme que serait le cri. Titre : No(w) Hope.
• Dossier PDF : www.ecrireunmouvement.com/attraction.pdf
• Site de Manon Avram : www.collectifko.com
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Équipes projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/equipe
• Accéder directement à la page de présentation : www.ecrireunmouvement.com/attraction
Manon Avram / BIO :
Après une formation en photographie, elle travaille en tant que photographe de plateau (théâtre et danse) et crée durant quatre années des expositions sur la trace de l’homme dans l’espace urbain et l’espace naturel. Suite à une première collaboration avec un vidéaste, elle perçoit la nécessité de confronter la photographie à différents modes d’expressions artistiques, pour lui conférer un autre statut que celui du tableau figé.
C’est ainsi qu’elle fonde en 2001 le Collectif K.O.com regroupant des artistes du spectacle vivant et des artistes plasticiens, dans un désir de collaboration et d’interaction entre les différentes pratiques. En 2003, elle restructure le collectif en compagnie de danse et mène des projets entre installations vivantes et pièces pour la scène. Des créations qui portent progressivement sur une écriture étroite entre le mouvement et l’image photographique. Elle est à ce jour l’auteur de sept pièces dont une co-écrite avec Fanny Avram.
Elle partage sa pratique et ses recherches en menant régulièrement des ateliers et des stages sur la danse et la photographie en France et en Italie, expérimentant des formes plus proches de la performance.
Parallèlement à la direction artistique du Collectif K.O.com, elle travaille pour la scène et les arts visuels, avec Anne Martin, Bruno Corsini, Franck Pourcel et Emmanuelle Germain.
Le Collectif KO.com :
Le collectif Ko.com est installé à Marseille depuis 2001. Il est né d’un événement regroupant des artistes de pratiques différentes invités au festival L’autre Emoi à Nice. Même si après un deuxième événementiel de ce type, le collectif est restructuré en compagnie, il poursuivra sa recherche dans l’interaction entre l’art vivant et les arts visuels. Ainsi à partir de 2003, la compagnie créait des pièces pour la scène dans lesquelles la fixité de la photographie projetée est amplifiée par le mouvement des danseurs (Et puis quoi et Profil bas). Depuis 2006, KO.com développe son travail vers la performance avec Les Diptyques (série d’installations vivantes confrontant un diptyque photographique et un danseur). Et c’est avec Huit minutes de pose (2008-2010) et Intérieurs Nuit / Extérieurs Jour (2009-2013) que la compagnie s’oriente vers des projets participatifs menés sur plusieurs années mêlant étroitement interventions artistiques et création.
Depuis 2007, le collectif KO.com partage avec la compagnie Mali Kadi, un espace de travail (bureau et studio) ouvert ponctuellement à d’autres artistes ou compagnies (sur des projets de créations et des cours).
LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
Deux créations. Un sous-tire commun : J’aimerai quiconque entendra que je crie. Deux créations, donc, (re)liées. L’une en 2014, l’autre en 2016. Un mot pour chacune d’elle. Absence pour la première. Espoir pour la seconde. L’une se propose de lire le cri au travers du prisme que serait l’absence. Titre : (Parc d’)ATTRACTION(s). L’autre de lire l’espoir au travers du prisme que serait le cri. Titre : No(w) Hope.
Au départ cette pièce devait s’intituler : ‘‘Un3Mars1996’’, jour de la disparition de Marguerite Duras. Il devait s’agir d’un hommage. Finalement, ce ne sera pas le cas.
Pourquoi ? Disons, qu’on est mal tombé. 2014 était une mauvaise année. Plus précisément l’année à éviter pour un tel projet.
Un petit éclaircissement pour ceux qui auraient échappé au matraquage de ces derniers mois : 2014 aurait été l’année où Duras aurait eu 100 ans. Paraît-il que ça se fête. C’est anecdotique, certes. Insignifiant, pourrions-nous dire. Ingénieux, aussi. D’autant qu’en 2016, elle sera morte depuis 20 ans et que nous assisterons à une nouvelle vague de mémoire à code barre.
Bref, tout aussi incompatible que cela puisse paraître tant avec l’œuvre qu’avec la femme, il nous fallait faire avec ça. Le cru ou plutôt la crue Duras 2014.
Nous étions d’accord, Manon et moi, sur ce point, sur cette indigeste-si-soudaine-sur-abondance-de-présence ; permettant, au mieux, de côtoyer son œuvre, au pire d’assister à la répétition de quelques stéréotypes durassiens plus qu’élimés (par ailleurs déjà très encombrants de son vivant).
Bref, nous étions donc d’accord pour ne plus trop afficher ce mot-là, hommage, s’éviter de participer de ça, s’éviter d’en être. Pas de commémoration, donc. Pas d’idem supplémentaire ajouté à la liste des rues, squares et autres établissement publics portant son nom.
Néanmoins, comme on le dirait de l’alcool ou d’une drogue, nous pourrons parler d’une pièce sous emprise, sous l’emprise ou sous influence de quelqu’un, en l’occurrence de Marguerite Duras.
C’est ajouté aussi ce constat, cette évidence simple : le problème n’était pas de se souvenir de Duras, le problème (insoluble) c’était l’absence de Duras. Son absence aujourd’hui. Elle entre autres. Elle parmi d’autres. Ces autres, c’est-à-dire tous ceux qui aujourd’hui nous font défaut, tous ceux auxquels nous voudrions avoir recours, tous ceux dont on se surprend encore à rêver leurs réactions face au monde. Monde social et/ou politique et/ou culturel et/ou artistique et/ou et cætera. Et des cris qui l’enveloppent, cris de colère et/ou de douleur et/ou de révolte et/ou de joie (il doit y en avoir) et/ou et cætera. Toute exhaustivité serait absurde et/ou nécessiterait un dossier supplémentaire, citons tout de même (histoire de savoir où on est) parmi eux : Roland Barthes, Didier Georges Gabily, Vladimir Jankélévitch, Samuel Beckett, Pina Bausch, Jacques Dupin, Michel Foucault ou Pierre Bourdieu.
En cette période trouble où l’on sait que la guerre est déclarée (Une guerre visant à liquider purement et simplement, disait Bernard Stiegler, l’expérience esthétique. / Entre autres, ajouterons-nous…) La question ne serait plus la résistance mais le combat. Pas d’avenir dans la résistance. Pas de résistance possible en tant que posture politique, précisait-il. L’avenir serait dans l’invention. En résumé, ne plus dénoncer mais énoncer. Déclencher le désir d’une autre histoire. Rendre possible ce désir-là. Et se souvenir de l’urgence fondamentale : savoir contre quoi et surtout pour quoi (en deux mots, autrement dit, pour quel quoi) nous nous battons.
C’est au cœur d’un théâtre plus évidé que vide que nous proposons de placer cette création. Un espace habité de souvenirs et de la présence de ces absents dont la pensée nous manque aujourd’hui... Un espace de confusion volontaire entre « avant » et « maintenant », où résonne la mémoire d’un espoir : celui d’un « après » loin du prévisible annoncé.
Thierry Escarmant et Manon Avram ont choisi d’associer leurs deux compagnies durant six années. De cette collaboration émaneront 3 créations : Qu’avez-vous vu ? (2012) ; (Parc d’)ATTRACTION(s) (2014) ; No(w) Hope (2016).
Au-delà de la dimension artistique, cette volonté est une tentative d’envisager d’autres façons de produire une oeuvre, notamment en fidélisant une équipe avec laquelle les deux compagnies se sont engagées sur cette période.
Ce projet inter-régional se voudrait être aussi un espace d’expérimentation (concret) des pratiques de mutualisation des moyens et des compétences.
À mi-parcours, il apparaît probable que cette démarche se poursuive après 2016, sans toutefois que la co-signature des oeuvres soit nécessaire.
D’un point de vue thématique, les créations 2014 et 2016 portent le même sous-titre (J’aimerai quiconque entendra que je crie). Il s’agira donc d’un diptyque. Néanmoins, à quelques mois de la création 2014, nous percevons qu’elle se trouve être dans la lignée de ‘‘Qu’avez-vous vu ?’’ et pensons donc que ces 3 créations pourraient s’apparenter à un triptyque, tentant de maintenir en tension la question de l’engagement et de la porosité entre le politique et le poétique.

• Dossier de présentation PDF : www.ecrireunmouvement.com/attraction.pdf
• Site de Manon Avram : www.collectifko.com
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Équipes projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/equipe
• Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/attraction





Il y a un aquarium d’où les protagonistes tentent de reprendre leur souffle. Il y a le visage de cette femme en gros plan égrainant une sorte de journal plus clinique qu’intime. Il y a ces autres femmes, peut-être des reflets, qui dansent ou plutôt qui fragilisent le texte en l’incorporant, l’exposant à ses propres aphonies. Il y a cet homme, peut-être un psychiatre, qui s’exerce au scalpel de l’analyse. Il y a deux observateurs : un guitariste et un saxophoniste.
Il s’agirait de donner à entendre un texte inscrit sur quelques feuilles, 47 exactement, portant des signes destinés à être lus. Je répète : Ni psychologie ni personnage mais de l’encre et du papier.
Plus encore la question est de savoir comment peut-on incorporer un texte, comment peut-on en livrer ses densités et ses intensités par et dans le corps, par et avec la danse.
Mettre en scène 4.48 PSYCHOSE consisterait finalement à l’inspirer et à l’expirer, à l’explorer par et avec le souffle, quand bien même certains passages ne peuvent s’exprimer que par le bruissement du corps dans l’effort ou par l’apnée la plus prolongée possible.

• Akosh Szelevenyi : www.ecrireunmouvement.com/akosh
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/448

• Nécessite un plateau de 10m d’ouverture avec gril technique à 5m50 de haut.
• Montage la veille de la représentation
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact
PARTENAIRES :

La première de cette création fût présentée en Août 2005 dans le cadre du festival "L’été à Pau"






En sa(voir) + :
• 4.48 Psychose / La création : www.ecrireunmouvement.com/448
• 4.48 Aphone : www.ecrireunmouvement.com/448aphone


En sa(voir) + :
• 4.48 Psychose / La création : www.ecrireunmouvement.com/448
• 4.48 Aphone : www.ecrireunmouvement.com/448aphone
Sarah Kane, dramaturge britannique, est née le 3 février 1971 à Brentwood dans l’Essex et est décédée le 20 février 1999. Elle a étudié le théâtre à l’Université de Bristol, dont elle fut brillamment diplômée, puis à l’Université de Birmingham. Ses pièces suscitèrent un scandale au Royal Court Theatre, et notamment Blasted (Anéantis), qui évoquait de façon crue et surprenante la violence du monde actuel à travers une histoire entre un journaliste grisonnant et une jeune fille naïve dont il abuse. L’intérêt de la pièce réside dans le rapprochement entre la violence « morale » et proche de la scène d’hôtel, et la violence lointaine de la guerre de Bosnie qui fait irruption dans la pièce en la personne d’un jeune soldat désabusé. Les critiques accablèrent la pièce et son auteur (« l’œuvre d’une ado suicidaire et frustrée »), malgré le soutien de nombreux artistes et notamment d’Edward Bond et de Harold Pinter.
Elle est également l’auteure de Phaedra’s Love (L’amour de Phèdre), Cleansed (Purifiés), Crave (Manque) et 4.48 Psychosis (4.48 Psychose) - où elle se livre plus que jamais. Le titre fait référence à 4h48 du matin, heure où elle se réveillait et où le désespoir se faisait le plus fort.
Sarah Kane se suicida à l’âge de 28 ans (en se pendant avec ses lacets dans les toilettes d’un hôpital) en 1999, un an avant la sortie de 4.48 Psychosis. Depuis quelques années, plusieurs critiques reconnaissent avoir mal jugé Sarah Kane et ses pièces connaissent un nouvel engouement.
« Je viens de me mettre au travail sur une nouvelle pièce dans laquelle il s’agit de la division entre la conscience et le corps. Pour moi la folie est liée à cette déchirure, et l’on n’a de chance de retrouver ce que l’on appelle son bon sens que si l’on se raccroche à soi-même, du point de vue spirituel, corporel, émotionnel. » / (Entretien de Sarah Kane avec Nils Tabert, février 1998)
LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
Il y a un aquarium d’où les protagonistes tentent de reprendre leur souffle. Il y a le visage de cette femme en gros plan égrainant une sorte de journal plus clinique qu’intime. Il y a ces autres femmes, peut-être des reflets, qui dansent ou plutôt qui fragilisent le texte en l’incorporant, l’exposant à ses propres aphonies. Il y a cet homme, peut-être un psychiatre, qui s’exerce au scalpel de l’analyse. Il y a deux observateurs : un guitariste et un saxophoniste.
Il s’agirait de donner à entendre un texte inscrit sur quelques feuilles, 47 exactement, portant des signes destinés à être lus. Je répète : Ni psychologie ni personnage mais de l’encre et du papier.
Plus encore la question est de savoir comment peut-on incorporer un texte, comment peut-on en livrer ses densités et ses intensités par et dans le corps, par et avec la danse.
Mettre en scène 4.48 PSYCHOSE consisterait finalement à l’inspirer et à l’expirer, à l’explorer par et avec le souffle, quand bien même certains passages ne peuvent s’exprimer que par le bruissement du corps dans l’effort ou par l’apnée la plus prolongée possible.

• Akosh Szelevenyi : www.ecrireunmouvement.com/akosh
• Nos partenaires projet par projet : www.ecrireunmouvement.com/partenaires
• Commander un DVD de l’une de nos créations
• Accéder directement à cette page : www.ecrireunmouvement.com/448

• Nécessite un plateau de 10m d’ouverture avec gril technique à 5m50 de haut.
• Montage la veille de la représentation
Conception : Thierry Escarmant / Mise en scène et Chorégraphie : Thierry Escarmant / Interprétation et composition musicale : Ryan Kernoa / Musique improvisée : Akosh Szelevenyi / Texte et Danse : Fanny Avram, Gilbert Traïna, Julie Dardey, Cécile Lefèvre, Laura Petrosino, Guillaume Milhac / Vidéo-projections : Médéric Grandet / Scénographie et Lumières : Guillaume Pons / Régies Techniques : Jean-Pierre Legout et Jean-Michel Noel / Graphiste : Jean-Marc Saint-Paul
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact





Trois artistes de la scène internationale du jazz improvisent sur une seule et même partition chorégraphique inspirée de la pièce de Sarah Kane "4.48 Psychose". Festival Beta Project / La Factory (Durée 50 minutes)
Première soirée : Xavier Hayet à la contrebasse
Deuxième soirée : Christophe Rocher à la clarinette basse
Troisième soirée : Michel Doneda au saxophone
Ces soirées faisaient partie intégrante de la création "4.48 Psychose". Bien plus que des étapes de travail, il s’est avéré qu’il s’agissait de pièces autonomes.
Les rencontres et la présentation d’étapes de travail d’une création composeraient les strates d’une histoire à venir. J’entends par là que ces moments auraient pour vocation d’écrire l’histoire, dans le sens du passé, d’une création. Une histoire qui serait tout aussi perceptible que les rides d’expressions sur un visage marqué par le temps. La pièce finale véhicule, me semble-t-il, cette mémoire, qui lui donne toute sa profondeur, toute son épaisseur, autrement dit : sa vie...
Cet article souhaitait donner à partager ces traces d’une création dont vous trouverez une vidéo ci-dessous et tout le détail sur 4.48 Psychose : www.ecrireunmouvement.com/448
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact
PARTENAIRES :

La première de cette création eu lieu au Tam Tam Théâtre (Pau), au printemps 2005, dans le cadre du festival de musiques jazz improvisées intitulé BETA PROJECT organisé par LA FACTORY
LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
Trois artistes de la scène internationale du jazz improvisent sur une seule et même partition chorégraphique inspirée de la pièce de Sarah Kane "4.48 Psychose". Festival Beta Project / La Factory (Durée 50 minutes)
Première soirée : Xavier Hayet à la contrebasse
Deuxième soirée : Christophe Rocher à la clarinette basse
Troisième soirée : Michel Doneda au saxophone
Ces soirées faisaient partie intégrante de la création "4.48 Psychose". Bien plus que des étapes de travail, il s’est avéré qu’il s’agissait de pièces autonomes.
Les rencontres et la présentation d’étapes de travail d’une création composeraient les strates d’une histoire à venir. J’entends par là que ces moments auraient pour vocation d’écrire l’histoire, dans le sens du passé, d’une création. Une histoire qui serait tout aussi perceptible que les rides d’expressions sur un visage marqué par le temps. La pièce finale véhicule, me semble-t-il, cette mémoire, qui lui donne toute sa profondeur, toute son épaisseur, autrement dit : sa vie...
Cet article souhaitait donner à partager ces traces d’une création dont vous trouverez une vidéo ci-dessous et tout le détail sur 4.48 Psychose : www.ecrireunmouvement.com/448
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact





Même si plusieurs pièces ont été créées cette saison-là, il s’agissait avant tout d’un manifeste visant à questionner l’impasse dans laquelle se trouvait (se trouve) bon nombre de compagnies : Interprètes non rénumérés, pièces peu ou pas diffusées, absence d’engagement et de responsabilisation du secteur, tant du côté des équipes artistiques que du côté des structures culturelles.
Lors de chacune de ces soirées, lors d’un débat, un document était remis au public, exposant la situation et proposant des solutions alternatives. La dernière oeuvre présentée au Festival Pluriel (Scène Conventionnée) et finalisant ce cycle, aura eu pour singularité de s’interdire tout usage des "outils" habituels du "spectacle" : une pièce sans costume, sans musique, sans texte, sans lumière, sans scénographie, seulement des corps, c’est-à-dire des gens dont la condition sociale ne nécessite plus aujourd’hui de faire comme si de rien n’était.
Auteurs référents : Pierre Bourdieu (Sociologue) et Roland Barthes (Sémiologue). Notions : La nuance entre ‘faire comme si de rien n’était’ et le principe d’une neutralité active, tel que l’entendait Roland Barthes. La responsabilité de l’artiste lors d’un rassemblement public. La responsabilité d’un directeur de compagnie, notamment dans la prise en considération de la situation financière des interprètes au-delà des seuls contrats ponctuels liés à une production. Problématisées autour du corps et de la danse en tant que reflets d’un climat social, et réalisées avec la création d’œuvres qui n’étaient pas à vendre.
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact
PARTENAIRES :

• Télécharger pdf
• Voir
Les visuels :
• Programme de la saison
• Visuel général
• Visuel AGCS
• Traces photos de Février 2004
• Visuel Roland Barthes
LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
Même si plusieurs pièces ont été créées cette saison-là, il s’agissait avant tout d’un manifeste visant à questionner l’impasse dans laquelle se trouvait (se trouve) bon nombre de compagnies : Interprètes non rénumérés, pièces peu ou pas diffusées, absence d’engagement et de responsabilisation du secteur, tant du côté des équipes artistiques que du côté des structures culturelles.
Lors de chacune de ces soirées, lors d’un débat, un document était remis au public, exposant la situation et proposant des solutions alternatives. La dernière oeuvre présentée au Festival Pluriel (Scène Conventionnée) et finalisant ce cycle, aura eu pour singularité de s’interdire tout usage des "outils" habituels du "spectacle" : une pièce sans costume, sans musique, sans texte, sans lumière, sans scénographie, seulement des corps, c’est-à-dire des gens dont la condition sociale ne nécessite plus aujourd’hui de faire comme si de rien n’était.
Auteurs référents : Pierre Bourdieu (Sociologue) et Roland Barthes (Sémiologue). Notions : La nuance entre ‘faire comme si de rien n’était’ et le principe d’une neutralité active, tel que l’entendait Roland Barthes. La responsabilité de l’artiste lors d’un rassemblement public. La responsabilité d’un directeur de compagnie, notamment dans la prise en considération de la situation financière des interprètes au-delà des seuls contrats ponctuels liés à une production. Problématisées autour du corps et de la danse en tant que reflets d’un climat social, et réalisées avec la création d’œuvres qui n’étaient pas à vendre. Conception : Thierry Escarmant en dialogue avec Fanny Avram, Gilbert Traïna, Guillaume Pons / Orchestique : Thierry Escarmant / Interprètes : Fanny Avram, Laurence Bernatas, Léa Cornetti, Julie Dardey, Cécile Lefèvre, Gilbert Traïna / Techniciens : Jean-Pierre Legout, Jean-Michel Noel, Guillaume Pons et la participation de Médéric Grandet à la vidéo.
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact





C’est l’adaptation théâtrale d’une nouvelle en cours d’écriture, sous la forme d’une variation musicale dont le thème majeur est une chorégraphie. C’est, surtout, une réponse... Celle d’une commande d’un interprète désirant un solo, plutôt ’Théâtre’ selon ses termes, et à partir de textes dont il était jusqu’à présent le seul lecteur. (Durée : 50 minutes)
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact
PARTENAIRES :

Première présentée au Théâtre du Pont Tournant (Bordeaux)
LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
C’est l’adaptation théâtrale d’une nouvelle en cours d’écriture, sous la forme d’une variation musicale dont le thème majeur est une chorégraphie. C’est, surtout, une réponse... Celle d’une commande d’un interprète désirant un solo, plutôt ’Théâtre’ selon ses termes, et à partir de textes dont il était jusqu’à présent le seul lecteur. (Durée : 50 minutes) Conception, Mise en scène, texte et chorégraphie : Thierry Escarmant / Interprétation : Gilbert Traïna / Voix off & Assistante : Fanny Avram / Espace sonore & composition musicale : Jean-Michel Noël / Lumières : Jean-Pierre Legout / Projections vidéo : Dominique Piollet / Scénographie et dessins : Léa Cornetti / Décors : Bruno Cornet.
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact





Sept interprètes, six chaises, une pluie de bulles et un sol d’eau, une robe rouge, une bicyclette, des fleurs, des images projetées, un micro parlent d’une femme dans un jardin public avec une pancarte à la main sur laquelle elle vient d’écrire Parlez-moi (Durée : 60 minutes)
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact
PARTENAIRES :

La première de cette création eu lieu à la Scène Conventionnée Espaces Pluriels (Pau)




LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
Sept interprètes, six chaises, une pluie de bulles et un sol d’eau, une robe rouge, une bicyclette, des fleurs, des images projetées, un micro parlent d’une femme dans un jardin public avec une pancarte à la main sur laquelle elle vient d’écrire Parlez-moi (Durée : 60 minutes)
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact





(...) Déjà si loin est un spectacle bouleversant, tragique et drôle, touchant et parfaitement maîtrisé. Pièce d’une économie et d’une pudeur exceptionnelle. L’une des meilleures œuvres de cette saison.
L’homme ne saurait être résumé à ce qu’il peut exprimer. Alors, comment dit-on le reste ? Comment exprimer tout ce qui ne rentre ni dans le mot, ni dans le geste ?
Chacun connaît cette limite, cet endroit, ce lieu où les mots ne suffisent plus, où nos perceptions, et plus encore ce que nous ressentons, ne peuvent plus être nommés.
Cet indicible surgit dans toute histoire individuelle, traverse toute vie. On peut en lire la trace dans n’importe quel geste ou mouvement, mais aussi dans la texture d’une voix, dans la profondeur d’un regard, et sur la peau, à la naissance d’un tremblement ou d’une ride.
C’est ce lieu-là qui est questionné dans déjà si loin mais aussi, probablement, dans toutes mes créations. Et c’est cela que je mets en scène : une certaine fébrilité du langage face à sa propre impuissance.
Ouvrage référent : « Penser la mort » et « Le ’je ne sais quoi’ et le ’presque rien’ »du philosophe Vladimir Jankélévitch. Notions : Le rapport au temps. La vulnérabilité de l’être en tant que vigilance. Problématisées autour de la question : Quand est-ce qu’on sait qu’on a plus le temps ?
Durée : 1h
ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Interprètes lors de la création en 2000 : Laurence Bernatas (Danse), Agnès Charve (Danse), Thierry Escarmant (Danse), Philomena Oomens (Texte et Danse), Marie Otal (Danse), Gilbert Traïna (Texte et Danse) et la participation de Charlotte Gault pour une reprise de rôle des partitions d’Agnès Charve / Script & Dactylo : Laurence Escarmant / Régie : Guillaume Pons.
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact
PARTENAIRES :

La première de cette création fût présentée au Vingtième Théâtre (Paris)
LA COMPAGNIE & THIERRY ESCARMANT :
Thierry Escarmant est chorégraphe, metteur en scène et auteur de textes pour la scène. Il assume la direction artistique d’Écrire un Mouvement, une compagnie implantée à Pau depuis 1989 au sein de laquelle il réalise ses projets. Il propose sous l’intitulé ‘‘Un Théâtre du Corps’’ des pièces combinant la danse, le texte et l’image. Le corps en termes d’implication et d’engagement est central dans ses projets, qu’il s’agisse du rapport à la danse, au texte, à la musique ou à la vidéo.
Thierry Escarmant envisage les manifestations publiques comme un moyen permettant d’ouvrir des espaces de rencontres, d’échanges et de questionnements. Il s’agit pour lui d’interagir et d’entretenir un dialogue avec la cité dont l’enjeu est le partage et la construction de valeurs. La volonté étant d’aiguiser un rapport d’attention au monde, une vigilance à l’aune de la vulnérabilité humaine.
En ce sens, au-delà des créations et de la dimension poétique, l’intention serait d’écrire un mouvement en tant qu’action collective. C’est cette dimension qui l’a conduit à s’impliquer dans la création du ‘‘Festival le Grain de la Voix’’ puis dans la fondation d’une Maison de la Poésie et des Écritures Contemporaines à Pau.
Écrire un Mouvement, c’est aussi un espace de travail, mis à disposition par la Ville de Pau, ponctuellement ouvert aux projets d’autres artistes et structures culturelles, pour des résidences de création ou des représentations.
CRÉATIONS :
Déjà si loin / 2000 (Texte / Danse) - Parlez-moi / 2002 (Texte / Danse / Vidéo) - Quelqu’un / Solo pour Gilbert Traïna / 2003 (Texte / Danse / Vidéo) - N’ayons l’air de rien / 2004 (Danse) - 4.48 Aphone, avec Christophe Rocher, Michel Doneda et Xavier Hayet / 2005 / (Danse / Musique improvisée) - 4.48 Psychose / Texte de S. Kane, avec Akosh S. et Ryan Kernoa / 2005 (Texte / Danse / Video / Musique Live) - Alpha / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Beta / 2007 (Texte / Danse / Musique live) - Pour rire Pour passer le temps / 2009 (Corps et Voix) - Qu’avez-vous vu ? / Co-signée avec Manon Avram / 2012 (Danse / Texte / Images) - Quand je serai(s) grand. / 2013 (Jeunes Publics - Danse / Texte / Vidéo) - Un3Mars1996 / Co-signée avec Manon Avram / 2014 (Danse / Texte / Images).
PETITES FORMES & LECTURES :
(Mêlant Danse et Musique Live selon les projets)
Écrire de Marguerite Duras / Récit - L’œil se scrute de Charles Juliet / Poésie - Ce qui s’appelle crier de Joris Lacoste / Pièce radiophonique - De l’impossibilité & Froid des limites d’Antonio Gamoneda / Poésie - Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman / Récit - L’eau Mate & Elena de Bernard Manciet / Nouvelle - Éclisse de Jacques Dupin / Récit - L’homme assis dans le couloir & Le square & La vie matérielle de Marguerite Duras - Cadavres, si on veut de Didier-Georges Gabily / Article de presse - Le testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon / Théâtre.
CRÉATIONS LORS DE WORKSHOPS :
Le temps et la Chambre / Botho Strauss avec l’école de danse HD (2002) - Assez, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2003) - N’ayons l’air de rien, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2004) - Leçon inaugurale de Roland Barthes avec les élèves de l’école de danse HD (2004) - L’air de rien avec les jeunes musiciens du GAM au Musée des Beaux Arts de Pau (2004) - Qu’en pensez-vous ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2004) - Le progrès, une idée morte ?, avec les étudiants du Lycée agricole de Montardon (2005) - Ouvrons les Guillemets, avec des étudiants de l’Université de Pau (2006) - Gamma, avec les lycéens de l’option cinéma du Lycée de Vierson (2007) - Gamma, avec les étudiants de l’École Supérieure des Arts de Pau (2008)
QUELQUES COLLABORATIONS AVEC D’AUTRES ARTISTES ET ÉQUIPES :
Musiciens : Michel Doneda, Christophe Rocher, Akosh Szelevenyi, Xavier Hayet, Ghislain Jantroy, les groupes Kourgane ou Man - Arts Urbains : Stany Cambot (Échelle Inconnue / Rouen), Gabi Farage (Bruit du Frigo / Bordeaux) - Théâtre : Francis Sourbié (Cie Théâtre de Novembre / Paris), Kristian Frédéric (Cie Les arts qui bougent / Bayonne) - Danse : Manon Avram (Collectif KO.COM / Marseille)
CRÉATIONS CO-SIGNÉES AVEC RICHARD CAYRE :
Danse pour Léonor Fini, (1992) / Les Auréoles Imprécises (1993) / Ordalie par les roses (1994) / Hostia (1995) / Le bal des ardents (1996) / Tout va bien (1997) / Noces (1998) / Français, encore un effort (1999) / Antigone à la plage (1999).
(...) Déjà si loin est un spectacle bouleversant, tragique et drôle, touchant et parfaitement maîtrisé. Pièce d’une économie et d’une pudeur exceptionnelle. L’une des meilleures œuvres de cette saison.
L’homme ne saurait être résumé à ce qu’il peut exprimer. Alors, comment dit-on le reste ? Comment exprimer tout ce qui ne rentre ni dans le mot, ni dans le geste ?
Chacun connaît cette limite, cet endroit, ce lieu où les mots ne suffisent plus, où nos perceptions, et plus encore ce que nous ressentons, ne peuvent plus être nommés.
Cet indicible surgit dans toute histoire individuelle, traverse toute vie. On peut en lire la trace dans n’importe quel geste ou mouvement, mais aussi dans la texture d’une voix, dans la profondeur d’un regard, et sur la peau, à la naissance d’un tremblement ou d’une ride.
C’est ce lieu-là qui est questionné dans déjà si loin mais aussi, probablement, dans toutes mes créations. Et c’est cela que je mets en scène : une certaine fébrilité du langage face à sa propre impuissance.
Ouvrage référent : « Penser la mort » et « Le ’je ne sais quoi’ et le ’presque rien’ »du philosophe Vladimir Jankélévitch. Notions : Le rapport au temps. La vulnérabilité de l’être en tant que vigilance. Problématisées autour de la question : Quand est-ce qu’on sait qu’on a plus le temps ?
Durée : 1h
Interprètes lors de la création en 2000 : Laurence Bernatas (Danse), Agnès Charve (Danse), Thierry Escarmant (Danse), Philomena Oomens (Texte et Danse), Marie Otal (Danse), Gilbert Traïna (Texte et Danse) et la participation de Charlotte Gault pour une reprise de rôle des partitions d’Agnès Charve / Script & Dactylo : Laurence Escarmant / Régie : Guillaume Pons.
Contacter quelqu’un : www.ecrireunmouvement.com/contact


Vous trouverez ci-dessous la présentation de textes et d’auteurs ayant fait l’objet d’une rencontre exceptionnelle et la plupart du temps d’une seule représentation. Vous trouverez aussi une présentation succincte des textes de penseurs, sociologues et philosophes, que nous proposons en introduction de nos projets.
>>> VOIR LE PRINTEMPS DES POÈTES 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
>>> VOIR LE PRINTEMPS DES POÈTES 2008 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
>>> VOIR LA PRÉSENTATION DU FESTIVAL EN HOMMAGE À MARGUERITE DURAS
LA MER REMBLAYÉE PAR LE FRACAS DES HOMMES d’Ophélie Jaësan
Aux Éditions Cheyne / 2007
Prix de Poésie de la Fondation Marcel Bleustein-Blanchet
Poésie contemporaine
PARCOURS : Ophélie Jaësan est née en 1978 à Nantes. Après des études d’architecture et de design (Toulouse, Nantes, Rennes), elle décide de se consacrer à l’écriture. En 2005, elle crée sa compagnie de théâtre : Cie Le Pouls électrique. En juin 2006, elle reçoit le Prix de Poésie Marcel Bleustein-Blanchet pour son recueil « La mer remblayée par le fracas des hommes ». En juillet 2006, c’est sa première pièce de théâtre « Née trouée » qui est jouée au festival d’Avignon. En février 2008 son premier roman « Le pouvoir des écorces » paraît chez Actes Sud. Elle vit et travaille à Nantes.
EXTRAIT : « Quand l’homme parle aux canons des fusils, je parle aux ronds noirs des pupilles. Quelque part, c’est le même questionnement. Il est des nuits où je te rêve sépia. Ma tête sur ta poitrine, ta main sur ma joue, te dire enfonce ton âme là en te montrant mon poumon droit. C’est une femme qui parle à ma bouche, avec des sentiments d’autres temps. Vois : elle n’est d’ici que par erreur. C’est la mère de toutes les mères qui n’a pas encore enfanté. Enfanter comme inventer : les enfants en rang dans la cour tirent des balles à blanc sur la peur de n’être jamais à la hauteur, car on leur demande l’impossible sans échelle ni échasse ni béquille. Et ils se cassent tous la gueule les uns après les autres – vingt ans –, cherchant des yeux, cherchant des bras, les leurs parfois, pour ceux qui n’en ont pas. Pleurent les enfants, les nerfs tiraillent. Heureusement l’alcool, les clans, l’illusion du bercail (...) »
Site officiel d’Ophélie Jaësan : www.jaesan.net / Création collective de ce texte lors de l’édition 2009 du festival "Un Printemps des poètes à Pau" avec Pantxix Bidart (Chant), Stéphane Garin (Batterie), Ghislain Jantroy (Guitare), Frédéric Jouanlong (Vocaliste), Ryan Kernoa (Guitare), Nicolas Lafourest (Guitare), Emma Morin (Texte), Christine Sehnaoui (Saxo) et Gilbert Traïna (texte).
LE VIEUX (Titre Provisoire) de Fanny Avram
Texte en cours d’écriture / Théâtre Contemporain
"Le vieux" est un monologue intérieur. Un homme monte un escalier, chaque marche le ramène à un souvenir, chaque fenêtre lui parle de paysages disparus. Fanny Avram, éclairée par la lampe d’un projecteur super 8 qui tourne à vide, questionne la mémoire. Une mémoire qui, comme le pensait Maurice Blanchot, est faite de souvenirs mais aussi, et surtout, d’oublis...
C’est en clôture de l’édition 2009 d’Un Printemps des poètes à Pau que Fanny Avram nous propose de découvrir son dernier texte, encore en cours d’écriture et dont l’adaptation théâtrale est prévue pour la saison suivante.
Lectrice : Fanny Avram
Bio : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
ELENA de Bernard Manciet aux Éditions Fédérop / 1992
Poésie contemporaine
La quatrième de couverture : En vérité, c’était elle qui se laissait glisser. Il lui semblait qu’elle devenait extraordinairement légère et qu’on la portait. Pas elle. Plutôt sa robe longue sur les avant-bras, à la manière de la couturière qui vient livrer l’ouvrage bien repassé. Et cette robe, quelqu’un la promenait dans la maison, de salle en salle, et par les allées, dehors, le long de la lagune et des fougères, entre les arbres. Tout y avait l’éclat du cristal, comme s’il avait gelé.
Paru en 1992 aux éditions Fédérop et Jorn, Elena tient une place singulière dans l’oeuvre de Bernat Manciet. Elle paraît à nouveau, en 2003, dans une traduction et un texte original, revus et corrigés.
« Encore jeune, une femme. Une forêt qui sent l’automne. Un rêve obsédant. Qu’il faut réaliser, avec méthode. Réussite. Presque. Mais il existait, déjà réel. Il intervient. Court-circuit. La Grâce ?... »
![]()
Lecteurs : Fanny Avram, Gilbert Traïna, Emma Morin / Musiciens : Michaël Bentz (Violoniste), David Guionneau (Batteur), Ghislain Jantroy (Guitariste), Frederic Jouanlong (Vocaliste), Ryan Kernoa (Guitariste), Gilles Lahonda (Bassiste), Charley Rose (Saxophoniste) / Danseuses : Léone Cats, Léa Cornetti, Julie Dardey
ÉCLISSE de Jacques Dupin en alternance avec des extraits de
LE CORPS CLAIRVOYANT
Poésie contemporaine
Jacques Dupin est né le 4 mars 1927 à Privas, Ardèche. Son père était médecin-chef d’un hôpital psychiatrique. Il meurt en 1931 et sa mère gagne avec lui sa Picardie natale. Ils retournent ensuite à Privas. Il fait des études d’histoire, de droit, de sciences politiques et se passionne pour l’art dès cette époque. Il vit à Paris depuis 1944.
Il rencontre René Char en 1947. Grâce à son soutien, il publie poèmes et textes sur l’art dans Botteghe Oscure, Cahiers d’art, Empédocle. Secrétaire des Cahiers d’art en 1952, il entre en relation avec des artistes (Brancusi, Picasso. Brauner, Lam. Calder. hélion, Braque, De Staël. Miro, Giacometti). C’est le début d’une collaboration avec les artistes qui occupera le plus clair de son temps. Il se lie d’amitié avec André du Bouchet. Francis Ponge, Pierre Reverdy, André Frénaud. En 1956, il devient directeur des éditions de la galerie Maeght, continuée par la galerie Lelong en 1981. Son amitié avec Alberto Giacometti est marquée par un livre. un film, l’organisation d’expositions. A signaler aussi, son étroite collaboration amicale avec Joan Miro, textes, expositions dont douze rétrospectives, établissement du catalogue des gravures, du catalogue des peintures, activités d’expert. Il a été aussi l’un des fondateurs de la revue l’Ephémère en 1966, avec André du Bouchet, Yves Bonnefoy, Gaëtan Picon, Louis-René des Forêts, Michel Leiris et Paul Celan. Collaboration et liens d’amitié, avec Tapies, Riopelle, Chillida, Rebeyrolle, Adami, Capdeville, Joan Mitchell, Francis Bacon. Henri Michaux. Prix national de poésie, 1988. (Source : Poesibao / Le journal permanent de la poésie)
Éclisse est paru aux éditions Spectres Familiers / 1992
Le corps clairvoyant est puru aux éditions Poésie-Gallimard / 1999
Lecteurs : Gilbert Traïna et Emma Morin / Vocaliste : Frederic Jouanlong
LA VIE MATÉRIELLE de Marguerite Duras / Livre édité aux Éditions POL
« Voici donc un livre qui n’a ni "commencement ni fin", qui n’a pas de "milieu". Un livre à mi-chemin de la fiction et du journal, du fragment et du moment, de la conversation et de la confession, un livre entre deux eaux, entre Duras et Beaujour, entre Duras et son temps, sa mémoire, sa vision du monde. Un livre à "l’écriture flottante" dont les textes vont se présenter comme autant de "seuils" pour pénétrer un peu de l’esprit de Duras. D’où ce sentiment intense d’intimité avec un écrivain et plus seulement une oeuvre, et cette impression d’être, avec tous ces fragments disparates, face à un puzzle dont la reconstitution aiderait à la résolution de l’énigme M. D. » / (Libération, 11 juin 1987)
Lecteur : Gilbert Traïna / Danseuses : Lucile Guin, Yui Mitsuhashi
LE SQUARE de Marguerite Duras / Livre édité aux Éditions Gallimard / 1999
Théâtre
Deux voix presque abstraites dans un lieu presque abstrait. C’est cela qui nous atteint d’abord, cette sorte d’abstraction : comme si ces deux êtres qui lient conversation dans un square – elle a vingt ans, elle est domestique ; lui, plus âgé, va de marché en marché vendre des choses de peu de valeur -, n’avaient plus d’autre vérité que leur seule voix et épuisaient dans cette conversation fortuite ce qui reste de chance et de vérité, ou plus simplement de parole, à un homme vivant. Il faut qu’ils parlent, et ces paroles précautionneuses, presque cérémonieuses, sont terribles à cause de la retenue qui n’est pas seulement la politesse des existences simples, mais est faite de leur extrême vulnérabilité. La crainte de blesser et la peur d’être blessé sont dans les paroles mêmes. Elles se touchent, elles se retirent au moindre contact un peu vif ; elles sont encore vivantes assurément. (…) Là, dans le monde simple du besoin et de la nécessité, les paroles sont vouées à l’essentiel, attirées uniquement par l’essentiel, et monotones, par conséquent, mais aussi trop attentives à ce qu’il faut en dire pour ne pas évier les formulations brutales qui mettraient fin à tout. / Maurice Blanchot dans Le livre à venir, 1959
Lecteurs : Fanny Avram, Gilbert Traïna / Danseuses : Lucile Guin, Yui Mitsuhashi
CADAVRES SI ON VEUT de Didier-Georges Gabily.
Article paru dans le Journal Libération le 21 juillet 1994.
Didier-Georges Gabily est né le 26 août 1955 à Saumur. Il passe son enfance et son adolescence à Tours. A cette époque, il ne connaît du théâtre que les "classiques scolaires" qui "l’ennuient". Après avoir arrêté volontairement ses études secondaires en 1971, il séjourne pendant sept mois dans une abbaye au sein de laquelle il étudie la théologie. Il quitte ce lieu, "athée", puis exerce divers métiers ; il continue cependant à acquérir par lui-même les éléments d’une culture littéraire, philosophique, picturale et cinématographique il voit notamment les premiers films de Jean-Luc Godard sans lesquels il n’aurait "pas su lire les premiers spectacles qui l’ont bouleversé", tels La Dispute de Marivaux mise en scène par Patrice Chéreau en 1973.
C’est "par hasard" qu’il s’intéresse au théâtre. "Le théâtre, le théâtre au niveau de la vie, au niveau des sens." D’abord comédien à Tours dans la troupe d’André Cellier, D.-G. Gabily monte à Paris au début des années soixante-dix. Il joue dans le Nuage amoureux de Mehmet Ulusoy, dans la Périchole, mise en scène au théâtre de l’Unité. Jouer, dirigé par Gilles Chavassieux, dans Si l’était revenait d’Arthur Adamov l’amène à lire l’intégralité de l’oeuvre de cet auteur. C’est une découverte déterminante : il fait, en effet, l’expérience d’une écriture qui, parce qu’elle pose comme problématique le rapport du théâtre et du monde, permet de questionner en profondeur le plateau, de revenir à un théâtre des origines reprenant les choses à "l’acte même de faire du théâtre." C’est ce questionnement là qui constamment va orienter les choix et nourrir la pratique et l’écriture théâtrales de D.-G. Gabily. A la même époque à l’issue d’une représentation de Si l’était revenait il fait la connaissance de Bernard Dort. Ce dernier devient son premier lecteur et son ami, son "père théâtral". Bernard Dort sait reconnaître immédiatement en son cadet "l’un des artisans les plus aigus et les plus exigeants de notre temps", un artiste, poète dramatique amoureux du plateau et des acteurs ; il l’encourage donc à écrire, ses paroles vont "travailler" durablement l’écriture de D.-G. Gabily. (Lire la suite de la biographie de Didier-Georges Gabily sur : theatre-contemporain.net)
Lecteurs : Gilbert Traïna et Thierry Escarmant
SI LE MONDE SOCIAL M’EST SUPPORTABLE c’est parce que je peux m’indigner
De Pierre Bourdieu / Entretien avec Antoine Spire
Paru aux Éditions de l’aube / Collection Intervention / 2002
L´entretien présenté ici a été réalisé dans le courant de l´année 1990. Le texte de cette rencontre en avait été revu par Pierre Bourdieu quelques semaines avant sa mort. Ce petit livre témoigne de la tension qui a toujours existé dans son oeuvre entre travail scientifique et engagement sociologique ; il est une pierre dans le jardin de ceux qui voient Pierre Bourdieu fait d’une seule pièce et de tout temps.
Pierre Bourdieu (Denguin, Pyrénées-Atlantiques, 1930 - 2002). Ancien élève de l’École normale supérieure, agrégé de philosophie, directeur d’études à l’École pratique des hautes études (1964), il a été élu à la chaire de sociologie du Collège de France en 1985. Directeur du Centre de sociologie européenne et de la revue Actes de la recherche en sciences sociales, il a dirigé, aux Éditions de Minuit, la collection « Le sens commun ». EN (SA)VOIR +
QUESTIONS DE SOCIOLOGIE de Pierre Bourdieu aux Éditions de Minuit / 1981
« Ce qui circule entre les chercheurs et les non spécialistes, ou même entre une science et les spécialistes des autres sciences, ce sont, au mieux, les résultats, mais jamais les opérations. On n’entre jamais dans les cuisines de la science ». Ce sont ces secrets de métier, ces recettes de fabrication, ces tours de main, que Pierre Bourdieu tente de livrer ici. En regroupant l’ensemble des réponses qu’il a faites, dans des exposés, des interventions orales ou des interviews aux principales questions que pose la sociologie, il livre sous la forme à la fois directe et nuancée que permet le discours oral, des réflexions sur la méthode et sur les concepts fondamentaux de sa sociologie (champ, habitus, capital, investissement etc....) sur les problèmes epistémologiques et philosophiques que pose la science sociale, en même temps que des analyses nouvelles sur la culture et la politique, la grève et le syndicalisme, le sport et la littérature. La mode et la vie artistique, le langage et la musique. En donnant accès au travail sociologique en train de se faire, il invite le lecteur non à s’identifier à une "pensée" toute pensée mais à se rendre maître d’une méthode de pensée.
Pierre Bourdieu (Denguin, Pyrénées-Atlantiques, 1930 - 2002). Ancien élève de l’École normale supérieure, agrégé de philosophie, directeur d’études à l’École pratique des hautes études (1964), il a été élu à la chaire de sociologie du Collège de France en 1985. Directeur du Centre de sociologie européenne et de la revue Actes de la recherche en sciences sociales, il a dirigé, aux Éditions de Minuit, la collection « Le sens commun ». EN (SA)VOIR +
LES PRISONS DE LA MISÈRE de Loïc Wacquant aux Éditions Raisons d’agir / 1999
« Dénonciation des "violences urbaines", quadrillage intensifiée des quartiers dits sensibles, répression accrue de la délinquance des jeunes et harcèlement des sans-abri, couvre-feu et "tolérance zéro", gonflement continu de la population carcérale, surveillance punitive des allocataires d’aides : partout en Europe se fait sentir la tentation de s’appuyer sur les institutions policières et pénitentiaires pour juguler les désordres engendrés par le chômage de masse, l’imposition du salariat précaire et le rétrécissement de la protection sociale. Cet ouvrage retrace les voies par lesquelles ce nouveau "sens commun" punitif, élaboré en Amérique par un réseau de thinks tanks néo-conservateurs, s’est internationalisé, à l’instar de l’idéologie économique néo-libérale dont il est la traduction en matière de "justice". Le basculement de l’Etat-providence à l’Etat-pénitentiaire annonce l’avénement d’un nouveau gouvernement de la misère maniant la main invisible du marché du travail déqualifié et dérégulé au poing de fer d’un appareil pénal intrusif et omniprésent. Les Etats-Unis ont clairement opté pour la criminalisation de la misère comme complément de la généralisation de l’insécurité salariale et sociale. L’Europe est aujourd’huiconfrontée à une alternative historique entre la pénalisation de la pauvreté et la création d’un Etat social continental digne de ce nom. » (Quatrième de couverture)
Loïc Wacquant est professeur de sociologie à l’Université de Californie, Berkeley. Outre de nombreux articles, il a publié, avec Pierre Bourdieu : Réponses - Pour une anthropologie réflexive, Seuil, 1992. EN (SA)VOIR +
LE NEUTRE de Roland Barthes aux Éditions du Seuil / 2002
Cours et séminaires au Collège de France année 1977-78. Texte établi, annoté et présenté par Thomas Clerc. Dirigé par Eric Marty. Penser de façon « neutre » ne veut pas forcément dire aplatir les choses (stéréotypes), mais suspendre les données conflictuelles de tout discours. Via Rousseau, Lao-Tseu ou Blanchot, Barthes réhabilite cette valeur forte, active, du Neutre - souvent déconsidérée en Occident, mais à l’honneur dans les philosophies orientales et mystiques. (Quatrième de couverture)
Le parcours de Roland Barthes (1915-1980) est celui d’une pensée critique singulière, dense et multiple, profondément investie dans son époque et s’en dégageant à la fois. Sémiologue, écrivain, sa pensée en perpétuel mouvement traverse la pluralité des discours critiques et théoriques (Marx, Freud, Saussure, Lévi-Strauss, Kristeva), en les adoptant et les détournant. Fidèle toujours à son projet initial, Barthes n’a pas arrêté de traquer et de combattre le pouvoir du langage institué. A travers son œuvre, Roland Barthes questionne l’histoire, la mode, la littérature,la publicité, la photographie, la peinture, le théâtre, pour en mettre à nu la structure et le sens. Par son approche si originale, faite de scientificité et de désir, de plaisir et de lucidité, il a entièrement révolutionné la critique littéraire et artistique plaçant le sujet au centre de toute tentative de lecture d’une œuvre. Le sujet barthésien réunit toujours trois niveaux, celui de la pensée, de l’imagination et de l’affect, les seuls qui garantissent la qualité de l’interprétation et son effet de vérité.
(Source : Centre Georges Pompidou)



En seconde Partie :
Pantxix Pidart (voix), Ryan Kernoa (guitare), Christine Sehnaoui (Saxophone)
Lieu : Chez Mireille Javaloyes / Pau (64000)
Contact & Résa : La Centrifugeuse au 05 59 40 72 93
Date et horaires : Dimanche 15 mars 2009 à 16h30
Voir le communiqué de presse : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
En quelques mots :

EN SA(VOIR) + :

• Détail de l’édition 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
• Dossier de Presse 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009.pdf
• Détail de l’édition 2008 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
• Présentations des oeuvres : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Printemps des poètes (National) : www.printempsdespoetes.com
• Sur le printemps des poètes à Pau : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
QUELQUES TRACES DU FESTIVAL 2008 :




Une (ré)écriture collective de "La mer remblayée par le fracas des hommes" d’Ophélie Jaësan avec Christine Sehnaoui (Saxophone), Frédéric Jouanlong (Voix), Stéphane Garin (percussions), Nicolas Lafourest (Guitare), Ryan Kernoa (Guitare), Ghislain Jantroy (guitare, électronique), Pantxix Bidart (Chant), Gilbert Traïna (Texte) et Emma Morin (Texte).
Ne pas manquer la rencontre avec l’auteur(e) suivi d’une lecture d’un de ses textes encore inédit à la Librairie Tonnet à 18h30.
Lieu : La Centrifugeuse / Campus Universitaire de Pau (64000)
Contact & Résa : La Centrifugeuse au 05 59 40 72 93
Date et horaires : Samedi 14 mars 2009 à 21h
Tarif : 5 euros
EN SA(VOIR) + :
• Détail de l’édition 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
• Dossier de Presse 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009.pdf
• Détail de l’édition 2008 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
• Présentations des oeuvres : www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
• Printemps des poètes (National) : www.printempsdespoetes.com
• Sur le printemps des poètes à Pau : www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
• Dossier sur Écrire un Mouvement : www.ecrireunmouvement.com/dossier.pdf
• Écrire un Mouvement / Les Bios : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
QUELQUES TRACES DU FESTIVAL 2008 :



Lieu : Centre Culturel de la Courée / 20 rue de Melun / 77090 Collégien
Contact & Résa :
Mairie de Collégien / Tél. : 01.60.35.90.81
Date et horaires :
Dimanche 13 Avril 2008 à 11h & 14h15
En quelques mots :
‘‘Écrire’’ de Marguerite Duras est un essai proposant une réflexion sur l’acte d’écrire et sur la solitude à l’oeuvre dans tout travail d’écriture. (Gallimard Folio / 1995)
Extrait : (...) « Je crois que c’est ça que je reproche aux livres, en général, c’est qu’ils ne sont pas libres. On le voit à travers l’écriture : ils sont fabriqués, ils sont organisés, réglementés, conformes on dirait. Une fonction de révision que l’écrivain a très souvent envers lui-même. L’écrivain, alors il devient son propre flic. J’entends par là la recherche de la bonne forme, c’est-à-dire de la forme la plus courante, la plus claire et la plus inoffensive. Il y a des générations mortes qui font des livres pudibonds. Même des jeunes : des livres charmants, sans prolongement aucun, sans nuit. Sans silence. Autrement dit : sans véritable auteur. Des livres de jour, de passe-temps, de voyage. Mais pas des livres qui s’incrustent dans la pensée et disent le deuil noir de toute vie, le lieu commun de toute pensée. »
Dispositif autonome permettant d’accueillir plus d’une vingtaine d’auditeurs équipés de casques audio dans une grande variété de lieux publics (Extérieur, Librairies, Bibliothèques, salles de spectacles, écoles, universités, bars, etc.). Notamment grâce à la relation d’intimité et d’écoute privilégiée qu’elles induisent, les lectures chuchotées au casque permettent et suscitent de véritables rencontres avec des œuvres littéraires. Ces mises en lectures sont accompagnées, selon les contextes, de musique, de chant, de vidéo ou de danse.
En sa(voir) + :
> VOIR LA PRÉSENTATION DES TEXTES D’INTRODUCTION DONT CELLE DE PIERRE BOURDIEU



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes



ÉCRIRE UN MOUVEMENT & LA CENTRIFUGEUSE PRÉSENTENT
UN PRINTEMPS DES POÈTES À PAU
PREMIÈRE ÉDITION / MARS 2008
VOIR LE PROGRAMME & LE COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
PRÉSENTATION DU FESTIVAL :
www.ecrireunmouvement.com/printempsdespoetes
PRÉSENTATION DE TOUS LES TEXTES :
www.ecrireunmouvement.com/petitesformes
Vous trouverez ci-dessous la présentation de textes et d’auteurs ayant fait l’objet d’une rencontre exceptionnelle et la plupart du temps d’une seule représentation. Vous trouverez aussi une présentation succincte des textes de penseurs, sociologues et philosophes, que nous proposons en introduction de nos projets.
>>> VOIR LE PRINTEMPS DES POÈTES 2009 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2009
>>> VOIR LE PRINTEMPS DES POÈTES 2008 : www.ecrireunmouvement.com/printemps2008
>>> VOIR LA PRÉSENTATION DU FESTIVAL EN HOMMAGE À MARGUERITE DURAS
LA MER REMBLAYÉE PAR LE FRACAS DES HOMMES d’Ophélie Jaësan
Aux Éditions Cheyne / 2007
Prix de Poésie de la Fondation Marcel Bleustein-Blanchet
Poésie contemporaine
PARCOURS : Ophélie Jaësan est née en 1978 à Nantes. Après des études d’architecture et de design (Toulouse, Nantes, Rennes), elle décide de se consacrer à l’écriture. En 2005, elle crée sa compagnie de théâtre : Cie Le Pouls électrique. En juin 2006, elle reçoit le Prix de Poésie Marcel Bleustein-Blanchet pour son recueil « La mer remblayée par le fracas des hommes ». En juillet 2006, c’est sa première pièce de théâtre « Née trouée » qui est jouée au festival d’Avignon. En février 2008 son premier roman « Le pouvoir des écorces » paraît chez Actes Sud. Elle vit et travaille à Nantes.
EXTRAIT : « Quand l’homme parle aux canons des fusils, je parle aux ronds noirs des pupilles. Quelque part, c’est le même questionnement. Il est des nuits où je te rêve sépia. Ma tête sur ta poitrine, ta main sur ma joue, te dire enfonce ton âme là en te montrant mon poumon droit. C’est une femme qui parle à ma bouche, avec des sentiments d’autres temps. Vois : elle n’est d’ici que par erreur. C’est la mère de toutes les mères qui n’a pas encore enfanté. Enfanter comme inventer : les enfants en rang dans la cour tirent des balles à blanc sur la peur de n’être jamais à la hauteur, car on leur demande l’impossible sans échelle ni échasse ni béquille. Et ils se cassent tous la gueule les uns après les autres – vingt ans –, cherchant des yeux, cherchant des bras, les leurs parfois, pour ceux qui n’en ont pas. Pleurent les enfants, les nerfs tiraillent. Heureusement l’alcool, les clans, l’illusion du bercail (...) »
Site officiel d’Ophélie Jaësan : www.jaesan.net / Création collective de ce texte lors de l’édition 2009 du festival "Un Printemps des poètes à Pau" avec Pantxix Bidart (Chant), Stéphane Garin (Batterie), Ghislain Jantroy (Guitare), Frédéric Jouanlong (Vocaliste), Ryan Kernoa (Guitare), Nicolas Lafourest (Guitare), Emma Morin (Texte), Christine Sehnaoui (Saxo) et Gilbert Traïna (texte).
LE VIEUX (Titre Provisoire) de Fanny Avram
Texte en cours d’écriture / Théâtre Contemporain
"Le vieux" est un monologue intérieur. Un homme monte un escalier, chaque marche le ramène à un souvenir, chaque fenêtre lui parle de paysages disparus. Fanny Avram, éclairée par la lampe d’un projecteur super 8 qui tourne à vide, questionne la mémoire. Une mémoire qui, comme le pensait Maurice Blanchot, est faite de souvenirs mais aussi, et surtout, d’oublis...
C’est en clôture de l’édition 2009 d’Un Printemps des poètes à Pau que Fanny Avram nous propose de découvrir son dernier texte, encore en cours d’écriture et dont l’adaptation théâtrale est prévue pour la saison suivante.
Lectrice : Fanny Avram
Bio : www.ecrireunmouvement.com/bios.pdf
ELENA de Bernard Manciet aux Éditions Fédérop / 1992
Poésie contemporaine
La quatrième de couverture : En vérité, c’était elle qui se laissait glisser. Il lui semblait qu’elle devenait extraordinairement légère et qu’on la portait. Pas elle. Plutôt sa robe longue sur les avant-bras, à la manière de la couturière qui vient livrer l’ouvrage bien repassé. Et cette robe, quelqu’un la promenait dans la maison, de salle en salle, et par les allées, dehors, le long de la lagune et des fougères, entre les arbres. Tout y avait l’éclat du cristal, comme s’il avait gelé.
Paru en 1992 aux éditions Fédérop et Jorn, Elena tient une place singulière dans l’oeuvre de Bernat Manciet. Elle paraît à nouveau, en 2003, dans une traduction et un texte original, revus et corrigés.
« Encore jeune, une femme. Une forêt qui sent l’automne. Un rêve obsédant. Qu’il faut réaliser, avec méthode. Réussite. Presque. Mais il existait, déjà réel. Il intervient. Court-circuit. La Grâce ?... »
![]()
Lecteurs : Fanny Avram, Gilbert Traïna, Emma Morin / Musiciens : Michaël Bentz (Violoniste), David Guionneau (Batteur), Ghislain Jantroy (Guitariste), Frederic Jouanlong (Vocaliste), Ryan Kernoa (Guitariste), Gilles Lahonda (Bassiste), Charley Rose (Saxophoniste) / Danseuses : Léone Cats, Léa Cornetti, Julie Dardey
ÉCLISSE de Jacques Dupin en alternance avec des extraits de
LE CORPS CLAIRVOYANT
Poésie contemporaine
Jacques Dupin est né le 4 mars 1927 à Privas, Ardèche. Son père était médecin-chef d’un hôpital psychiatrique. Il meurt en 1931 et sa mère gagne avec lui sa Picardie natale. Ils retournent ensuite à Privas. Il fait des études d’histoire, de droit, de sciences politiques et se passionne pour l’art dès cette époque. Il vit à Paris depuis 1944.
Il rencontre René Char en 1947. Grâce à son soutien, il publie poèmes et textes sur l’art dans Botteghe Oscure, Cahiers d’art, Empédocle. Secrétaire des Cahiers d’art en 1952, il entre en relation avec des artistes (Brancusi, Picasso. Brauner, Lam. Calder. hélion, Braque, De Staël. Miro, Giacometti). C’est le début d’une collaboration avec les artistes qui occupera le plus clair de son temps. Il se lie d’amitié avec André du Bouchet. Francis Ponge, Pierre Reverdy, André Frénaud. En 1956, il devient directeur des éditions de la galerie Maeght, continuée par la galerie Lelong en 1981. Son amitié avec Alberto Giacometti est marquée par un livre. un film, l’organisation d’expositions. A signaler aussi, son étroite collaboration amicale avec Joan Miro, textes, expositions dont douze rétrospectives, établissement du catalogue des gravures, du catalogue des peintures, activités d’expert. Il a été aussi l’un des fondateurs de la revue l’Ephémère en 1966, avec André du Bouchet, Yves Bonnefoy, Gaëtan Picon, Louis-René des Forêts, Michel Leiris et Paul Celan. Collaboration et liens d’amitié, avec Tapies, Riopelle, Chillida, Rebeyrolle, Adami, Capdeville, Joan Mitchell, Francis Bacon. Henri Michaux. Prix national de poésie, 1988. (Source : Poesibao / Le journal permanent de la poésie)
Éclisse est paru aux éditions Spectres Familiers / 1992
Le corps clairvoyant est puru aux éditions Poésie-Gallimard / 1999
Lecteurs : Gilbert Traïna et Emma Morin / Vocaliste : Frederic Jouanlong
LA VIE MATÉRIELLE de Marguerite Duras / Livre édité aux Éditions POL
« Voici donc un livre qui n’a ni "commencement ni fin", qui n’a pas de "milieu". Un livre à mi-chemin de la fiction et du journal, du fragment et du moment, de la conversation et de la confession, un livre entre deux eaux, entre Duras et Beaujour, entre Duras et son temps, sa mémoire, sa vision du monde. Un livre à "l’écriture flottante" dont les textes vont se présenter comme autant de "seuils" pour pénétrer un peu de l’esprit de Duras. D’où ce sentiment intense d’intimité avec un écrivain et plus seulement une oeuvre, et cette impression d’être, avec tous ces fragments disparates, face à un puzzle dont la reconstitution aiderait à la résolution de l’énigme M. D. » / (Libération, 11 juin 1987)
Lecteur : Gilbert Traïna / Danseuses : Lucile Guin, Yui Mitsuhashi
LE SQUARE de Marguerite Duras / Livre édité aux Éditions Gallimard / 1999
Théâtre
Deux voix presque abstraites dans un lieu presque abstrait. C’est cela qui nous atteint d’abord, cette sorte d’abstraction : comme si ces deux êtres qui lient conversation dans un square – elle a vingt ans, elle est domestique ; lui, plus âgé, va de marché en marché vendre des choses de peu de valeur -, n’avaient plus d’autre vérité que leur seule voix et épuisaient dans cette conversation fortuite ce qui reste de chance et de vérité, ou plus simplement de parole, à un homme vivant. Il faut qu’ils parlent, et ces paroles précautionneuses, presque cérémonieuses, sont terribles à cause de la retenue qui n’est pas seulement la politesse des existences simples, mais est faite de leur extrême vulnérabilité. La crainte de blesser et la peur d’être blessé sont dans les paroles mêmes. Elles se touchent, elles se retirent au moindre contact un peu vif ; elles sont encore vivantes assurément. (…) Là, dans le monde simple du besoin et de la nécessité, les paroles sont vouées à l’essentiel, attirées uniquement par l’essentiel, et monotones, par conséquent, mais aussi trop attentives à ce qu’il faut en dire pour ne pas évier les formulations brutales qui mettraient fin à tout. / Maurice Blanchot dans Le livre à venir, 1959
Lecteurs : Fanny Avram, Gilbert Traïna / Danseuses : Lucile Guin, Yui Mitsuhashi
CADAVRES SI ON VEUT de Didier-Georges Gabily.
Article paru dans le Journal Libération le 21 juillet 1994.
Didier-Georges Gabily est né le 26 août 1955 à Saumur. Il passe son enfance et son adolescence à Tours. A cette époque, il ne connaît du théâtre que les "classiques scolaires" qui "l’ennuient". Après avoir arrêté volontairement ses études secondaires en 1971, il séjourne pendant sept mois dans une abbaye au sein de laquelle il étudie la théologie. Il quitte ce lieu, "athée", puis exerce divers métiers ; il continue cependant à acquérir par lui-même les éléments d’une culture littéraire, philosophique, picturale et cinématographique il voit notamment les premiers films de Jean-Luc Godard sans lesquels il n’aurait "pas su lire les premiers spectacles qui l’ont bouleversé", tels La Dispute de Marivaux mise en scène par Patrice Chéreau en 1973.
C’est "par hasard" qu’il s’intéresse au théâtre. "Le théâtre, le théâtre au niveau de la vie, au niveau des sens." D’abord comédien à Tours dans la troupe d’André Cellier, D.-G. Gabily monte à Paris au début des années soixante-dix. Il joue dans le Nuage amoureux de Mehmet Ulusoy, dans la Périchole, mise en scène au théâtre de l’Unité. Jouer, dirigé par Gilles Chavassieux, dans Si l’était revenait d’Arthur Adamov l’amène à lire l’intégralité de l’oeuvre de cet auteur. C’est une découverte déterminante : il fait, en effet, l’expérience d’une écriture qui, parce qu’elle pose comme problématique le rapport du théâtre et du monde, permet de questionner en profondeur le plateau, de revenir à un théâtre des origines reprenant les choses à "l’acte même de faire du théâtre." C’est ce questionnement là qui constamment va orienter les choix et nourrir la pratique et l’écriture théâtrales de D.-G. Gabily. A la même époque à l’issue d’une représentation de Si l’était revenait il fait la connaissance de Bernard Dort. Ce dernier devient son premier lecteur et son ami, son "père théâtral". Bernard Dort sait reconnaître immédiatement en son cadet "l’un des artisans les plus aigus et les plus exigeants de notre temps", un artiste, poète dramatique amoureux du plateau et des acteurs ; il l’encourage donc à écrire, ses paroles vont "travailler" durablement l’écriture de D.-G. Gabily. (Lire la suite de la biographie de Didier-Georges Gabily sur : theatre-contemporain.net)
Lecteurs : Gilbert Traïna et Thierry Escarmant
SI LE MONDE SOCIAL M’EST SUPPORTABLE c’est parce que je peux m’indigner
De Pierre Bourdieu / Entretien avec Antoine Spire
Paru aux Éditions de l’aube / Collection Intervention / 2002
L´entretien présenté ici a été réalisé dans le courant de l´année 1990. Le texte de cette rencontre en avait été revu par Pierre Bourdieu quelques semaines avant sa mort. Ce petit livre témoigne de la tension qui a toujours existé dans son oeuvre entre travail scientifique et engagement sociologique ; il est une pierre dans le jardin de ceux qui voient Pierre Bourdieu fait d’une seule pièce et de tout temps.
Pierre Bourdieu (Denguin, Pyrénées-Atlantiques, 1930 - 2002). Ancien élève de l’École normale supérieure, agrégé de philosophie, directeur d’études à l’École pratique des hautes études (1964), il a été élu à la chaire de sociologie du Collège de France en 1985. Directeur du Centre de sociologie européenne et de la revue Actes de la recherche en sciences sociales, il a dirigé, aux Éditions de Minuit, la collection « Le sens commun ». EN (SA)VOIR +
QUESTIONS DE SOCIOLOGIE de Pierre Bourdieu aux Éditions de Minuit / 1981
« Ce qui circule entre les chercheurs et les non spécialistes, ou même entre une science et les spécialistes des autres sciences, ce sont, au mieux, les résultats, mais jamais les opérations. On n’entre jamais dans les cuisines de la science ». Ce sont ces secrets de métier, ces recettes de fabrication, ces tours de main, que Pierre Bourdieu tente de livrer ici. En regroupant l’ensemble des réponses qu’il a faites, dans des exposés, des interventions orales ou des interviews aux principales questions que pose la sociologie, il livre sous la forme à la fois directe et nuancée que permet le discours oral, des réflexions sur la méthode et sur les concepts fondamentaux de sa sociologie (champ, habitus, capital, investissement etc....) sur les problèmes epistémologiques et philosophiques que pose la science sociale, en même temps que des analyses nouvelles sur la culture et la politique, la grève et le syndicalisme, le sport et la littérature. La mode et la vie artistique, le langage et la musique. En donnant accès au travail sociologique en train de se faire, il invite le lecteur non à s’identifier à une "pensée" toute pensée mais à se rendre maître d’une méthode de pensée.
Pierre Bourdieu (Denguin, Pyrénées-Atlantiques, 1930 - 2002). Ancien élève de l’École normale supérieure, agrégé de philosophie, directeur d’études à l’École pratique des hautes études (1964), il a été élu à la chaire de sociologie du Collège de France en 1985. Directeur du Centre de sociologie européenne et de la revue Actes de la recherche en sciences sociales, il a dirigé, aux Éditions de Minuit, la collection « Le sens commun ». EN (SA)VOIR +
LES PRISONS DE LA MISÈRE de Loïc Wacquant aux Éditions Raisons d’agir / 1999
« Dénonciation des "violences urbaines", quadrillage intensifiée des quartiers dits sensibles, répression accrue de la délinquance des jeunes et harcèlement des sans-abri, couvre-feu et "tolérance zéro", gonflement continu de la population carcérale, surveillance punitive des allocataires d’aides : partout en Europe se fait sentir la tentation de s’appuyer sur les institutions policières et pénitentiaires pour juguler les désordres engendrés par le chômage de masse, l’imposition du salariat précaire et le rétrécissement de la protection sociale. Cet ouvrage retrace les voies par lesquelles ce nouveau "sens commun" punitif, élaboré en Amérique par un réseau de thinks tanks néo-conservateurs, s’est internationalisé, à l’instar de l’idéologie économique néo-libérale dont il est la traduction en matière de "justice". Le basculement de l’Etat-providence à l’Etat-pénitentiaire annonce l’avénement d’un nouveau gouvernement de la misère maniant la main invisible du marché du travail déqualifié et dérégulé au poing de fer d’un appareil pénal intrusif et omniprésent. Les Etats-Unis ont clairement opté pour la criminalisation de la misère comme complément de la généralisation de l’insécurité salariale et sociale. L’Europe est aujourd’huiconfrontée à une alternative historique entre la pénalisation de la pauvreté et la création d’un Etat social continental digne de ce nom. » (Quatrième de couverture)
Loïc Wacquant est professeur de sociologie à l’Université de Californie, Berkeley. Outre de nombreux articles, il a publié, avec Pierre Bourdieu : Réponses - Pour une anthropologie réflexive, Seuil, 1992. EN (SA)VOIR +
LE NEUTRE de Roland Barthes aux Éditions du Seuil / 2002
Cours et séminaires au Collège de France année 1977-78. Texte établi, annoté et présenté par Thomas Clerc. Dirigé par Eric Marty. Penser de façon « neutre » ne veut pas forcément dire aplatir les choses (stéréotypes), mais suspendre les données conflictuelles de tout discours. Via Rousseau, Lao-Tseu ou Blanchot, Barthes réhabilite cette valeur forte, active, du Neutre - souvent déconsidérée en Occident, mais à l’honneur dans les philosophies orientales et mystiques. (Quatrième de couverture)
Le parcours de Roland Barthes (1915-1980) est celui d’une pensée critique singulière, dense et multiple, profondément investie dans son époque et s’en dégageant à la fois. Sémiologue, écrivain, sa pensée en perpétuel mouvement traverse la pluralité des discours critiques et théoriques (Marx, Freud, Saussure, Lévi-Strauss, Kristeva), en les adoptant et les détournant. Fidèle toujours à son projet initial, Barthes n’a pas arrêté de traquer et de combattre le pouvoir du langage institué. A travers son œuvre, Roland Barthes questionne l’histoire, la mode, la littérature,la publicité, la photographie, la peinture, le théâtre, pour en mettre à nu la structure et le sens. Par son approche si originale, faite de scientificité et de désir, de plaisir et de lucidité, il a entièrement révolutionné la critique littéraire et artistique plaçant le sujet au centre de toute tentative de lecture d’une œuvre. Le sujet barthésien réunit toujours trois niveaux, celui de la pensée, de l’imagination et de l’affect, les seuls qui garantissent la qualité de l’interprétation et son effet de vérité.
(Source : Centre Georges Pompidou)

